30/09/17 - Dépression en cours
Il fait froid.
Je mange et je pigne. Pour éviter de
pleurer, il faudrait que je mange en grande quantité. Un banquet ça
calme les nerfs et ça enlève la tristesse. Mais si je mange en
grande quantité je deviens incapable de relations sociales, parce
que gros, repoussant, et fatigué ; je me mets donc tout le monde à
dos. Si je vais voir du monde sans avoir mangé comme un porc, j'ai
des crises de panique, je me renferme sur moi-même, je deviens muet.
Donc, pour éviter les crises
d'angoisse et me laisser une chance d'avoir quelques réussites
sociales, le mieux c'est de faire le choix de la solitude et de la
dépression. Il y aurait au l'option Guillaume, une alternative, mais
elle est foutue celle-là.
Je ne vois donc pas de fin heureuse en
ce qui me concerne. Je suis définitivement condamné à la misère,
la souffrance et la dépression.
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