21/09/17 - Les dangers de twitter
Je suis allé sur Twitter 2 secondes, le temps de prier dieu. A peine suis-je connecté que je tombe sur une lèvre féminine couverte de rouge à lèvre rouge qui se mordille. Je regarde plus bas, une émission France Culture sur des femmes qui essayent des boules de geisha pour découvrir le plaisir anal.
Entre les deux, la photo d'une femme, dans le genre d'AVR tenant la main à un mec dans le genre de Julien Doré. "Pas encore lui !" je me dis.
J'ai envie d'aller faire une recherche Twitter "Adèle Van Reeth" pour voir ce qui a bien pu être écrit en mon absence. Et pour fini je renonce à le faire me disant que je ne pourrai y trouver que des raisons de faire des cauchemars, d'angoisser, et de me sentir très mal.
Donc, je suis assez contant. J'ai réussis ma première journée sans AVR.
Mais pour être tout à fait honnête, je sens que je commence à devenir de plus en plus triste. Une sorte de tristesse profonde : comme un froid. L'arrêt des chemins il se pourrait que ça finisse par me rendre dépressif. Ou plutôt que ça me rende à la dépression.
Je sais très bien qu'en faisant ça, elle va en profiter pour s'afficher avec tout le monde. Parce qu'elle aura plus le boulet dans les pattes. Mais bon, j'ai pas le choix.
Moi j'ai rien décidé depuis le début. C'est pas de ma faute si les choses sont comme elles sont.
En tout cas j'ai bien fait d'arrêter sec tout ce que je faisais, parce qu'on peut pas le faire progressivement. Là ils sont déjà sur des armes lourdes : jalousie, pratiques sexuelles féminines, je pense ils ont tous les indicateurs dans le rouge là. Il est question de me hameçonner le plus efficacement possible pour me remettre dans l'axe d'un con inatteignable.
Entre les deux, la photo d'une femme, dans le genre d'AVR tenant la main à un mec dans le genre de Julien Doré. "Pas encore lui !" je me dis.
J'ai envie d'aller faire une recherche Twitter "Adèle Van Reeth" pour voir ce qui a bien pu être écrit en mon absence. Et pour fini je renonce à le faire me disant que je ne pourrai y trouver que des raisons de faire des cauchemars, d'angoisser, et de me sentir très mal.
Donc, je suis assez contant. J'ai réussis ma première journée sans AVR.
Mais pour être tout à fait honnête, je sens que je commence à devenir de plus en plus triste. Une sorte de tristesse profonde : comme un froid. L'arrêt des chemins il se pourrait que ça finisse par me rendre dépressif. Ou plutôt que ça me rende à la dépression.
Je sais très bien qu'en faisant ça, elle va en profiter pour s'afficher avec tout le monde. Parce qu'elle aura plus le boulet dans les pattes. Mais bon, j'ai pas le choix.
Moi j'ai rien décidé depuis le début. C'est pas de ma faute si les choses sont comme elles sont.
En tout cas j'ai bien fait d'arrêter sec tout ce que je faisais, parce qu'on peut pas le faire progressivement. Là ils sont déjà sur des armes lourdes : jalousie, pratiques sexuelles féminines, je pense ils ont tous les indicateurs dans le rouge là. Il est question de me hameçonner le plus efficacement possible pour me remettre dans l'axe d'un con inatteignable.
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