27/09/17 - Fausse justice
Associer mon harcèlement à une
justice, c'est absurde. Ce que je veux dire c'est qu'une agression,
même si c'est un "règlement de comptes" n'a rien de juste
à partir du moment où elle ne se base pas sur des documents qui
font preuve. Bah oui, j'étais créditeur de combien quand on m'a
fait paniquer ? J'étais débiteur de combien ? Quelqu'un a un papier
pour me dire ? Que je sache un peu ce que je devais payer par ma
souffrance. Ma facture est réglée ou il en reste encore à payer à
grosses larmes ?
Vous savez, j'ai beau chercher, je ne
trouve rien qui puisse m'éclairer. Et quand on associe cet évènement
à la justice c'est pire que tout.
Personne n'est venu me voir en personne
pour me dire ce que j'aurais pu faire de mal. On n'est pas non plus
venu me voir pour me dire frontalement : voilà ce qu'on va
t'infliger, voilà pourquoi on va le faire, tu n'as pas ton mot à
dire. Non, c'est pas ce qui s'est passé. J'ai juste été harcelé,
insulté, on a fait tourner des documents personnels me concertants
(tout le laisse penser), et moi je sais toujours pas pourquoi ça a
eu lieu.
Est-ce que je me suis pas fait avoir
dans cette histoire ? Est-ce qu'on m'a pas encore rendu d'avantage
créditeur par rapport à la collectivité que je ne suis déjà ?
Vous savez ce que ça veut dire
d'essayer d'entrer dans un milieu professionnel où on a déjà un
nom alors même qu'on a jamais vu personne ? Vous savez ce que ça
implique ? Vous savez aussi ce que ça peut-être que de penser que
ce qui tourne comme propos n'est pas du tout flateur ? Que ça fait
rire ? Que ça fait s'éxciter les instincts bas, animaux, de la
masse ?
Moi, personnellement, je m'en fout.
J'ai déjà renoncé à me faire des amis. Les gens ne m'intéressent
pas, justement parce que depuis ma naissance ce qui arrive, je l'ai
redouté. Si ça se réalise, c'est logique. C'est tout à fait
prévu.
Je serai froid, je regarderai tout le
monde comme des salopards en puissance, et je ferai ma vie dans la
souffrance sans rien attendre de personne. J'ai envie de dire : rien
de neuf sous le soleil.
Et, je le dis souvent mais, si c'est ma
vie qui fait rire, la logique veut que je meurs pour que le rire
cesse. C'est tout à fait logique, non ? Et bien voilà.
Irresponsabilité, inconséquence, arrogance. La meute baveuse,
vicelarde, cherche une victime pour satisfaire ses pulsions. Si c'est
moi c'est normal.
Mais, rassurez moi, vous n'avez
quand-même pas pour seul projet de m'assassiner ? Je veux dire, vous
avez pas une issue positive à m'offrir ? Autre que la mort ? Ou
alors, vraiment, vous êtes focalisés là dessus, c'est une
obsession ?
_
Au sujet des documents personnels me
concernant qui pourraient tourner, j'ai déjà réglé l'affaire en
2015. C'est après le traumatisme de 2014, la menace de mort, tout
ça, que j'ai décidé de tout balancer, de faire tout ce qui était
imaginable pour m'assurer que JE sois à l'origine des sales rumeurs
qui se rependront dans mon dos.
Donc, quand on m'insulte, quand on dit
des choses à mon sujet, ça m'énerve un peu, mais ça ne me met pas
dans une position de honte, de ridicule, ou de quoi que ce soit. Tout
simplement parce que je sais que c'est l'IIA qui fait la situation,
qu'elle est l'exploitation de MA réalité fabriquée. L'IIA c'est
l'utilisation de ce que JE fais et ce que JE suis.
Ce n'est pas la captation d'un moi
refoulé, non assumé, qui serait dévoilé et qui me mettrait en
bien inconfortable posture. C'est juste MA crasse. MA bonne crasse.
A la différence d'une pute, qui une
fois violée, se fais belle pour se vendre. Moi, je me laisse salir,
et je me complet dans la saleté. Et j'adore les commentaires qui
commentent les conséquences de leurs actes comme LA chose qui
pourrait engendrer la honte.
Mais quelle honte ? En situation de
viol, je n'ai honte que pour le violeur. Pour celui qui s'adonne à
de pareilles bassesses. S'il éprouve de la satisfaction à montrer
ma crasse au public, c'est qu'il souffre d'un mal particulièrement
grave. Il cherche ma mort, tout simplement.
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