19/09/17 - prise de vue réelle, 3D ou dessin ?
Depuis un moment, je passe mon temps à faire des prises de vue réelles. Des photos et des vidéos simples, premier degré, sans subtilités. Il me faut le monde réel pour aller trouver ce que je veux capturer. Il y a un mouvement à faire.
Je ne fais pas de l'intellectuel. Je ne suis pas dans la référence historique à de la photo de genre. Je me contente de montrer ce que je veux montrer.
J'avance sans destination, comme je me tue à le répéter. En terme d'illustration c'est la même chose. J'essaye de trouver le moyen le plus adapté pour illustrer un texte. Beaucoup de techniques s'offrent à moi et j'essaye à l'occasion d'en apprendre un peu plus sur chacune d'elles.
Ce que l'illustration montre n'est pas réfléchit plus que ça. Comme le texte, il est la fabrication d'un esprit demeuré. Il est manuel, absolument pas cérébral.
Le stade cérébral de mon travail arrive en dernier lieu. Il est l'étape finale qui clôture l'appropriation du mode d'expression. Il vient me faire passer de maitre à docteur.
J'en suis au stade ou j'essaye de devenir omni-technicien, avant de deveni maitre, et c'est loin d'être terminé.
Puisque je n'ai pas de professeur, mon apprentissage se fait de manière chaotique. Tout est bon à prendre. Et tout, c'est trop pour un seul homme. Alors, prise de vue réelle, 3D, dessin ? Je dirais que j'en sais rien et que je vois pas bien ce que je peux choisir.
La prise de vue réelle exige une masse de réalité. La 3D et le dessin autorise la création de ce que l'imagination commande. On peut épuiser rapidement la réalité comme une mine d'or, mais on peut aussi exploiter lentement et durablement l'imaginaire.
Je ne sais pas. Peut-être faut-il tracer une frontière entre réalité et fiction ? Mais puisque la "réalité" est une fiction, je ne vois bien l'intérêt de le faire. C'est absurde.
Je ne fais pas de l'intellectuel. Je ne suis pas dans la référence historique à de la photo de genre. Je me contente de montrer ce que je veux montrer.
J'avance sans destination, comme je me tue à le répéter. En terme d'illustration c'est la même chose. J'essaye de trouver le moyen le plus adapté pour illustrer un texte. Beaucoup de techniques s'offrent à moi et j'essaye à l'occasion d'en apprendre un peu plus sur chacune d'elles.
Ce que l'illustration montre n'est pas réfléchit plus que ça. Comme le texte, il est la fabrication d'un esprit demeuré. Il est manuel, absolument pas cérébral.
Le stade cérébral de mon travail arrive en dernier lieu. Il est l'étape finale qui clôture l'appropriation du mode d'expression. Il vient me faire passer de maitre à docteur.
J'en suis au stade ou j'essaye de devenir omni-technicien, avant de deveni maitre, et c'est loin d'être terminé.
Puisque je n'ai pas de professeur, mon apprentissage se fait de manière chaotique. Tout est bon à prendre. Et tout, c'est trop pour un seul homme. Alors, prise de vue réelle, 3D, dessin ? Je dirais que j'en sais rien et que je vois pas bien ce que je peux choisir.
La prise de vue réelle exige une masse de réalité. La 3D et le dessin autorise la création de ce que l'imagination commande. On peut épuiser rapidement la réalité comme une mine d'or, mais on peut aussi exploiter lentement et durablement l'imaginaire.
Je ne sais pas. Peut-être faut-il tracer une frontière entre réalité et fiction ? Mais puisque la "réalité" est une fiction, je ne vois bien l'intérêt de le faire. C'est absurde.
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