28/08/17 - Idées de thèmes pour les chemins de la philosophie

Je propose des thèmes, après, ils sont retenus ou pas, ignorés ou pas, peu importe.

  1. Quelles raisons peuvent justifier la cruauté ?
  2. Quelles raisons poussent un groupe à fermer les yeux sur les souffrances du bouc émissaire ?
  3. Torture t-on pour approcher la mort ou pour éloigner la vie ?
  4. Quelles raisons peuvent justifier qu'on torture un prisonnier ?
  5. Quelle rapport la société doit elle entretenir avec les victimes collatérales de la guerre ?
  6. En quoi la fuite face à la violence de la société peut-elle influencer la société, si elle le peut ?
  7. Peut-on tolérer d'aider quelqu'un qui tue ?
  8. Peut-on tolérer de tuer quelqu'un qui aide ?
  9. Intolérance totalitaire contre intolérance privée. Faut-il combattre l'intolérance à l'échelle ou elle se niche ?
  10. Qu'est-ce qu'une société sans responsabilité ?
  11. Où commence et s'arrête la responsabilité d'un Homme ?
  12. Doit-on penser aux conséquences de ses actes ?
  13. Nos actes cherchent-ils des conséquences ou réagissent-ils en conséquences des actes qui les précèdent ? Les conséquences à court terme peuvent-elles justifier qu'on ignore les conséquences à long terme ? Inversement, les conséquences à long terme peuvent-elles justifier qu'on ignore les conséquences à court terme ?
  14. Doit-on traiter un inoffensif sadique comme un tueur en séries ? Et les masses sadiques comme un criminel ?
  15. L'arrogance est-elle un défaut ou une vertu ?
  16. Qu'est-ce que la moquerie pour le moqué ?
Je dis pas que ce sont de bons thèmes, je dis que moi c'est des questions auxquelles j'ai pas de réponses. Tout le monde s'intéresse à ce que je fais, mais tout le monde semble ignorer les coups de fouets que je supporte à longueur de journée, ainsi que la douleur qu'ils me procurent. C'est vraiment un problème qui me préoccupe, moi. Je comprends pas que tout le monde fasse comme si ça n'existait pas. Il y a quelques temps, en Novembre 2016, on parlait à la radio d'animaux de cirque. J'ai vraiment l'impression d'être ça, un animal de cirque. Tout le monde a l'air joyeux de me voir souffrir. Comme si ça se voyait pas que j'était malheureux.

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