22/08/17 - Les droits des demeurés
Je vais essayer de ne plus être demeuré à long terme, mais je trouve ça dommage d'être obligé de me soumettre à l'arrogance, l'irresponsabilité et l'inconséquence collective (IIA). Les "intelligents" n'ont pas de cœur, c'est le moins qu'on puisse dire. Alors, si je peux faire quelques choses, ce serait entre autres de m'interroger sur les moyens de forcer les intelligents à ne pas exploiter ceux qui ne le sont pas, ni se moquer d'eux.
Un peu moins de tête et un peu plus de cœur. Elle est triste cette époque, c'est moi qui vous le dit.
Notre vie est la proie aux intérêts les plus cruels, ils cherchent à nous utiliser par tous les moyens. Au nom de la science, de la religion, du spectacle, de l'industrie, ils ne peuvent pas tolérer que l'on ne soit ni client, ni patient, ni employé, ni spectateur. Il faut impérativement, sous menace de harcèlement, que l'on se donne corps et âme à une chaine de traitement de la vie.
Et c'est qui qui pense et dirige le "complot" contre l'idiot ? Et bien c'est les intelligents, encore une fois ! Ils nous esclavagisent via : carte vitale, compte en banque, ligne téléphonique, ligne internet, adresse postale, ... Et nous, on a quoi pour nous défendre ? Rien. Même chez nous on est pas chez nous. On décide même pas de ce qui se passe dans nos propres maisons !
Ca sert à rien de fantasmer des dystopies, on y est déjà depuis longtemps, et c'est pire que tout ce qu'on aurait pu imaginer. Je ne suis pas pour les droits de l'Homme, mais les droits des demeurés. Il faut reconnaitre la sensibilité du demeuré et sa capacité à sentir le vrai et le faux. Nier la souffrance du demeuré est un crime. On ne peut pas utiliser un être vivant comme un outil qu'on exploiterait jusqu'à ce qu'il soit hors d'usage et qu'on balancerait une fois dis-fonctionnel ou obsolète.
Les systèmes de traitement humain sans morale, ça ne peut que produire de la souffrance. Si vous aimez la souffrance, devenez maso chers intellos, mais laissez tranquilles les autres.
Un peu moins de tête et un peu plus de cœur. Elle est triste cette époque, c'est moi qui vous le dit.
Notre vie est la proie aux intérêts les plus cruels, ils cherchent à nous utiliser par tous les moyens. Au nom de la science, de la religion, du spectacle, de l'industrie, ils ne peuvent pas tolérer que l'on ne soit ni client, ni patient, ni employé, ni spectateur. Il faut impérativement, sous menace de harcèlement, que l'on se donne corps et âme à une chaine de traitement de la vie.
Et c'est qui qui pense et dirige le "complot" contre l'idiot ? Et bien c'est les intelligents, encore une fois ! Ils nous esclavagisent via : carte vitale, compte en banque, ligne téléphonique, ligne internet, adresse postale, ... Et nous, on a quoi pour nous défendre ? Rien. Même chez nous on est pas chez nous. On décide même pas de ce qui se passe dans nos propres maisons !
Ca sert à rien de fantasmer des dystopies, on y est déjà depuis longtemps, et c'est pire que tout ce qu'on aurait pu imaginer. Je ne suis pas pour les droits de l'Homme, mais les droits des demeurés. Il faut reconnaitre la sensibilité du demeuré et sa capacité à sentir le vrai et le faux. Nier la souffrance du demeuré est un crime. On ne peut pas utiliser un être vivant comme un outil qu'on exploiterait jusqu'à ce qu'il soit hors d'usage et qu'on balancerait une fois dis-fonctionnel ou obsolète.
Les systèmes de traitement humain sans morale, ça ne peut que produire de la souffrance. Si vous aimez la souffrance, devenez maso chers intellos, mais laissez tranquilles les autres.
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