23/08/17 - STRESSE, STRESSE
Ne pas mordre que les nariniers ? Je
peux mordre les non nariniers qui se prennent pour des nariniers, à
la limite. Histoire de pas avoir l'air trop obcédé par le péril
narinier.
De toutes façons, moi, ces 3 dernières
années elles resteront parmis les pires années de ma vie, aussi
catastrophiques que mon année RAP, qui m'a enfoncé dans 4 années
de dépression.
Alors voilà. Je regarde l'état dans
lequel je suis, et je me dis que ce qui éxplique la similitude entre
ces deux situations s'éxplique peut-être dans le fait que ce qu'on
me cache c'est le RAP. Je vois que ça ! C'est même pas
intellectualisé. J'ai aucune preuve. J'ai rien pour appuyer mes
propos solidement. Juste ça : quand le RAP est trop proche de moi je
fini en profonde dépression et j'ai des envies de mort.
Ce qui fait que les chemins de la
philosophie étaient moins bons, à mon avis, c'est qu'il y a du RAP
qui tourne autour. Si je suis malheureux, déprimé, si j'ai
l'impression que le monde est foutu, que tout est nul et restera nul,
c'est qu'il y a du RAP qui rôde. Ca pue le RAP, l'odeur nauséabonde
est là, ça sent tellement fort, ...
Je sais même pas si ce que je dis
tient la route mais au fond de moi, au plus profond de mon être,
j'ai une conviction indémontrable : je me fais pourrir par du RAP.
Une vie sous l'emprise du RAP, c'est la
pire chose que je puisse imaginer, c'est l'enfer sur terre, c'est
l'inintelligence, l'inélégance, l'irrespect, l'inconséquence et
l'arrogance.
C'est l'odeur de RAP qui me fait
détester les narines, pour toute la vie.
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