14/08/17 - Sous traitement de l'intelligence
Ce qu'est pénible c'est de prendre conscience qu'on sous traite sa propre intelligence.
Je sais pas comment font les universitaires, les chercheurs hors universités, et intellectuels, mais moi entant que demeuré, je trouve assez énorme la différence de qualité entre une idée qu'on m'a suggéré et une idée que j'ai façonné par moi-même.
Je sais que les universitaires, entre autres, ont l'habitude de travailler des thèses qu'ils essayent d'enraciner dans l'humus que forme un "corpus" constitué de textes classiques et reconnus. Mais, pour le coup, ces thèses, elles viennent d'où ? D'eux ? De leurs lectures ?
Une thèse nécessite t-elle un travail avant de se dévoiler à son "créateur" ? Ou est-elle préalable au travail, et donc ne trouverait en celui-ci qu'à établir une parenté vis à vis d'un corpus ?
(je sais pas si le mot corpus convient, je voulais parler de ce qui constitut la bibliographie à la fin d'un livre)
Je sais pas comment font les universitaires, les chercheurs hors universités, et intellectuels, mais moi entant que demeuré, je trouve assez énorme la différence de qualité entre une idée qu'on m'a suggéré et une idée que j'ai façonné par moi-même.
Je sais que les universitaires, entre autres, ont l'habitude de travailler des thèses qu'ils essayent d'enraciner dans l'humus que forme un "corpus" constitué de textes classiques et reconnus. Mais, pour le coup, ces thèses, elles viennent d'où ? D'eux ? De leurs lectures ?
Une thèse nécessite t-elle un travail avant de se dévoiler à son "créateur" ? Ou est-elle préalable au travail, et donc ne trouverait en celui-ci qu'à établir une parenté vis à vis d'un corpus ?
(je sais pas si le mot corpus convient, je voulais parler de ce qui constitut la bibliographie à la fin d'un livre)
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