24/08/17 - Je ne veux pas être écrivain
Que les choses soient claires, je ne veux/peux pas être écrivain, pas plus que compositeur, pas plus non plus que dessinateur. Je ne veux/peux RIEN être. Pour être il faut avoir eu une vie suffisement tranquille pour pouvoir donner des coups en sachant malgré tout qu'on en prendra en retour et qu'on aura la force de les encaisser. Si t'as déjà pris tous les coups du monde dans la gueule, forcément, t'as plus envie de te battre. Tu vois pas pourquoi t'irais réclamer qu'on te donnes le joujou, à toi, et pas aux autres.
Pour vouloir devenir quelqu'un il faut ne pas être handicapé. Moi je le suis. Mais mon handicape ne rentre dans aucune catégorie qui ne soit monopolisée par l'industrie de la chimie.
Me surveiller sans arrêt pour me dire que je vais réussir à faire je ne sais quoi, en sachant très bien qu'on fera tout pour m'empêcher d'y arriver, ou pour me forcer à faire ce que je ne veux pas faire, c'est pas possible. Faudrait qu'on arrête de prendre les gens pour des débiles. Faudrait arrêter de considérer que leur vie ne vaut rien. Parce que moi, j'ai l'impression que ma vie on pense qu'elle ne vaut rien. Tout le monde est près à me faire souffrir, mais personne n'est près à m'aider réellement. Une main tendue, j'en ai pas vu une seule. J'ai juste croisé quelques mystérieux passionés de smartphones. Il y a bien eu : des agresseurs, des fausses femmes, des faux comptes, des faux ... tout. Et moi, c'est ma vraie vie qui est détruite. On a décidé de détruire mon identité virtuelle, c'est à dire l'identité qui me fait éxister aux yeux des autres. On a voulu me tuer, et on veut encore le faire.
On me voit comme un âne à qui on tend une carotte, au sujet duquel on n'imagine pas la possibilité d'une conscience. Comment cet animal pourrait-il avoir conscience qu'on utilise sa force de travail pour des affaires frutueuses desquelles il ne gagnera qu'une carotte ? Comment le pourrait-il ?
Et donc, personne pour me soutenir ? Pour m'aider à réunir les conditions nécessaires à l'éxpulsion des voyeurs et la neutralisations de leurs moyens de surveillance ?
Ma vie, qui est comme tout un chacun, d'avantage virtuelle que réelle, vous avez conscience de ce que vous lui avez infligée depuis des années ? En quantité d'agressions, vous voyez un peu ce que ça peut représenter ? Des centaines de messages de haine, chaque jour, pendant des années. Alors même que je n'ai ni travail, ni salaire, ni revenu d'aucune nature, ni amis, ni rien. Un PDG de multinationale ne stresse pas autant que ça. Un militaire en guerre, en zone de tir, ne stresse pas autant que ça non plus.
Je crois que vous n'avez pas conscience de grand chose en réalité, pas plus consicence en virtuel. Vous vivez dans un jeu vidéo. Vous pensez en victoires, défaites, scores, etc. parce que vous ne perdez jamais. Le jeu ne permet pas que vous perdiez et vous ne permettez pas que le jeu me fasse gagner. Vous ne savez pas ce que c'est que de jouer sa vie, sa vraie vie, sans aucune consolation ou compensation possible.
Si pour arrêter de me prendre pour un âne, il faut que je sois l'idiot utile d'une catégorie, trouvez moi la catégorie des bobo ruinés, je peux y entrer sans problème. Lorsque j'écrirai un livre, on le mettera dans la catégorie : littérature de guerre des bobo ruinés, ou alors littérature biographique de bobo ruiné, ou encore littérature imaginaire de bobo ruiné, ou mythologie du bobo ruiné.
En titres on pourrait déjà envisager : "Mort sur le front religieux, seul, bobo, ruiné", "Le bobo ruiné du village", "Big Beauf-richissime", "français, bobo, ruiné", "Coup de riche, bobo de pauvre", "le bobo ruiné au nom fortuné", "le cauchemard mondialiste, ou l'anti-rêve du bobo ruiné", ...
Pour vouloir devenir quelqu'un il faut ne pas être handicapé. Moi je le suis. Mais mon handicape ne rentre dans aucune catégorie qui ne soit monopolisée par l'industrie de la chimie.
Me surveiller sans arrêt pour me dire que je vais réussir à faire je ne sais quoi, en sachant très bien qu'on fera tout pour m'empêcher d'y arriver, ou pour me forcer à faire ce que je ne veux pas faire, c'est pas possible. Faudrait qu'on arrête de prendre les gens pour des débiles. Faudrait arrêter de considérer que leur vie ne vaut rien. Parce que moi, j'ai l'impression que ma vie on pense qu'elle ne vaut rien. Tout le monde est près à me faire souffrir, mais personne n'est près à m'aider réellement. Une main tendue, j'en ai pas vu une seule. J'ai juste croisé quelques mystérieux passionés de smartphones. Il y a bien eu : des agresseurs, des fausses femmes, des faux comptes, des faux ... tout. Et moi, c'est ma vraie vie qui est détruite. On a décidé de détruire mon identité virtuelle, c'est à dire l'identité qui me fait éxister aux yeux des autres. On a voulu me tuer, et on veut encore le faire.
On me voit comme un âne à qui on tend une carotte, au sujet duquel on n'imagine pas la possibilité d'une conscience. Comment cet animal pourrait-il avoir conscience qu'on utilise sa force de travail pour des affaires frutueuses desquelles il ne gagnera qu'une carotte ? Comment le pourrait-il ?
Et donc, personne pour me soutenir ? Pour m'aider à réunir les conditions nécessaires à l'éxpulsion des voyeurs et la neutralisations de leurs moyens de surveillance ?
Ma vie, qui est comme tout un chacun, d'avantage virtuelle que réelle, vous avez conscience de ce que vous lui avez infligée depuis des années ? En quantité d'agressions, vous voyez un peu ce que ça peut représenter ? Des centaines de messages de haine, chaque jour, pendant des années. Alors même que je n'ai ni travail, ni salaire, ni revenu d'aucune nature, ni amis, ni rien. Un PDG de multinationale ne stresse pas autant que ça. Un militaire en guerre, en zone de tir, ne stresse pas autant que ça non plus.
Je crois que vous n'avez pas conscience de grand chose en réalité, pas plus consicence en virtuel. Vous vivez dans un jeu vidéo. Vous pensez en victoires, défaites, scores, etc. parce que vous ne perdez jamais. Le jeu ne permet pas que vous perdiez et vous ne permettez pas que le jeu me fasse gagner. Vous ne savez pas ce que c'est que de jouer sa vie, sa vraie vie, sans aucune consolation ou compensation possible.
Si pour arrêter de me prendre pour un âne, il faut que je sois l'idiot utile d'une catégorie, trouvez moi la catégorie des bobo ruinés, je peux y entrer sans problème. Lorsque j'écrirai un livre, on le mettera dans la catégorie : littérature de guerre des bobo ruinés, ou alors littérature biographique de bobo ruiné, ou encore littérature imaginaire de bobo ruiné, ou mythologie du bobo ruiné.
En titres on pourrait déjà envisager : "Mort sur le front religieux, seul, bobo, ruiné", "Le bobo ruiné du village", "Big Beauf-richissime", "français, bobo, ruiné", "Coup de riche, bobo de pauvre", "le bobo ruiné au nom fortuné", "le cauchemard mondialiste, ou l'anti-rêve du bobo ruiné", ...
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