18/08/17 - Je parle de moi face à AVR

Concernant l'affaire AVR, pourquoi je parle de moi, de "je", et non de "nous", ou d'un vrai "vous" ? Parce que je ne veux SURTOUT pas effectuer son portrait ou plutôt dire autre chose que ce qu'elle dit. Je sais en quoi celà pourrait être terrible de ne pas dresser un mur entre elle et moi.

Je sais bien que ça aurait été mieux de faire les choses sans arrières pensées, mais ça n'aurait été possible qu'en tête à tête. Une passion ça ne se partage pas. Si partage il doit y avoir, il me faut une contrepartie. C'est donnant donnant.

La prestation radiophonique, je ne vois pas ça comme une rémunération contre service, mais comme le règlement à minima d'une dette de viol.

Pour que nous puissions être quittes, il aurait été plus juste que vous acceptiez un rendez-vous. Et si vous aviez voulu un partage des passions, un rendez-vous était le strict minimum.

Votre voix au téléphone pendant que, derrière, ça percute ... voilà ce que je me dis quand je pense à la possiblité de partager les passions. Vous ne faites pas du téléphone rose, vous faites de la cornemuse. Je suis pas si con.

De toutes façons j'y perds dans cet échange. Et vous, je suis pas sûr que vous y gagnez tant que ça.