31/10/17 - Esclavagisme du spectacle
Qu'il en faut des souffrances dans l'arène pour satisfaire un public abrutis. C'est quand-même pas simple de passer tout son temps à courir vers rien et pour rien. On est plombé, calé sur l'horloge.
Ecriture forcée des pensées avortées consécutives de ce que je vois, j'entends, je sens et je goûte.
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