28/11/17 - Ignare en commérage
S'il y a un domaine dans lequel je ne connais rien c'est le commérage. C'est peut-être ça, d'ailleurs, que je considère comme une carence sociale. Je ne sais pas comment ça fonctionne, mais à voir les gens qui le pratique ça doit pas être sorcier.
Alors, je crois, pour commencer, que le commérage est un moteur social qui utilise le bouc émissaire comme source d'énergie. Je crois que c'est ça qu'on met à la base des relations sociales éxcluentes que j'ai observé parce qu'elles m'offraient des amis marginaux. En fait, je crois que la force d'éxclusion est dans le commérage. Plus on le pratique et plus on influence les sort des uns et des autres.
Pour être dedans ou dehors, du cercle social commère, il faut bénéficier de bonnes ou de mauvaises rumeurs. Ces rumeurs sont entretenues par les membres d'un cercle qui se forcent à parler entre eux le plus souvent possible et donc à passer en boucle les cas de tous les membres du cercle. On a les gens populaires, dont on parle à haute fréquence, et les gens moins populaires dont on parle plus rarement.
On peut être populaire pour de bonnes raisons, lorsqu'on nous reconnait des qualités (j'imagine ?) et pour de mauvaises raisons lorsqu'on vous reconnait des défauts (j'imagine ?). La popularité est donc un sujet qui intervient lors d'élévations sociales ou d'éffondrement.
Je crois que le chiracisme est une sorte d'arme de precision commère qui sert à faire parler d'une personne pour la descendre.
J'ai observé qu'on pouvait parler d'une personne pour la faire monter, mais je n'ai jamis vu de bonnes raisons qui pouvaient justifier celà. Je crois qu'il faut faire intervenir la croyance et le dogmatisme.
Je me suis toujours demandé qui tirait les ficelles, qui décidait de faire monter ou descendre. Il doit y avoir des "influenceurs" comme on dit, qui doivent jouer un rôle dans le dispositif. Mais ces influenceurs, je n'ai pas l'impression qu'on puisse les atteindre par les armes du commérage.
On dirait que le commérage est décidé par le haut de la pyramide commère, et que le haut de cette pyramide n'est pas celui de la pyramide sociale. Comme si pouvoir politique (commères) et pouvoir économique (entreprises) pouvaient ne pas être en accord.
Je me suis demandé si commère et parlement étaient des notions comparables. On a tendance à faire un parallèle entre le parlement et la rumeur. Comme si le parlement serait chargé d'influencer la rumeur et donc d'éxercer son pouvoir d'influence sur celle-ci.
Si la pouvoir du parlement repose sur la raison, on peut penser qu'il aurait un intérêt. Mais s'il repose sur la manipulation, il ne s'agit plus de la confrontation de l'ordre étatique au chaos populaire, mais de la mise en rang du troupeau par les chiens de garde, via des techniques trop efficasses pour qu'il y ait discution.
J'ai l'impression que les institutions organisent des structures présentent à l'état sauvage pour les éxploiter à des fins politiques.
Alors, pour revenir au commérage, je crois que c'est ça qu'on nomme l'anarchisme. C'est un mode de relations sociales ancien, qui vient d'un temps où les réseaux sociaux n'étaient pas répandu et les gens ne passaient pas leur temps devant leur écran. Ils avaient un rapport à la structure sociale plus biologique et faisaient confiance aux mécanismes d'inclusion/exclusion.
Si je voulais diffucer une bonne image de ma personne, et bénéficier d'une inclusion sociale, le commérage me le permettrait-il ? Excisterait-il des moyens d'inverser la vapeur oubien suis-je définitivement grillé ? Est-ce que le commère a une longue mémoire ? Est-il un tacheron, le nez ans le guidons de la réputation, ou un archiviste qui garde tous les dossiers ?
Au niveau des institutions, si l'on est condamné par la justice, on a un casier judiciaire. Les institutions archivent notre parcours et partent du principe qu'on ne peut pas effacer ce qui a été fait. Ce qu'on commet d'illégale reste pour toute la vie. Est-ce que cette conception de l'Homme vient du système commère ? Est-ce que les commères nous reprochent toujours les mêmes choses toute la vie ? Est-ce qu'ils nous réintègrent parmis eux comme un criminel social dont on entretient le souvenir des crimes par le ragot ? SI c'était le cas, ça voudrait dire que le casier social serait la rumeur persistante.
Si l'on devait faire une administration à l'image du système social actuel, je crois en effet que nous serions dans une dictature.
J'ai l'impression de subir des assauts diffus et fourbes, partout, venant d'un quelque chose qui serait semblable à une dictature. Cependant, elle me présente d'elle un aspect commère de sa personne morale via des personnes physiques. Alors, je en sais pas quoi penser. Sont-ils guidé par des programmes auxquels ils obéissent aveuglément, oubien organisent-ils leur actes par des mécanismes complexes de commérage qui me dépassent ? Y a t-il des forces organisées d'influences ET des vagues commères qui se cotoient ? Comment celà est-il organisé ?
Par exemple, mes voisins font-ils partie d'une organisation architecturée ou d'un système anarchique biologique ? Quels sont leurs modes de communications ? Obéissent t-ils à des disciplines communes aux membres de leurs système biologique s'ils en faisaient partie ? Utilisent-ils leurs montres pour se synchroniser avec les autres ? Oubien utilisent-ils d'autres moyens additionnels (langage, symboles, canal de réception d'ordres) ?
J'arrive pas à savoir comment je peux me représenter le commérage en entreprise, entre différentes entreprises, dans un département, dans une région, dans un pays, à l'international, etc. Et surtout, j'arrive pas à comprendre comment on peut créer un contre pouvoir vis à vis de la presse et de sa position autiste dictatoriale. A défaut d'un contre pouvoir, au moins établir un dialogue.
Comme si la presse n'avait pas d'autre fonction que de remuer des chiffons rouges pour permettre au système commère dominant de faire son oeuvre au sein des institutions.
Alors, je crois, pour commencer, que le commérage est un moteur social qui utilise le bouc émissaire comme source d'énergie. Je crois que c'est ça qu'on met à la base des relations sociales éxcluentes que j'ai observé parce qu'elles m'offraient des amis marginaux. En fait, je crois que la force d'éxclusion est dans le commérage. Plus on le pratique et plus on influence les sort des uns et des autres.
Pour être dedans ou dehors, du cercle social commère, il faut bénéficier de bonnes ou de mauvaises rumeurs. Ces rumeurs sont entretenues par les membres d'un cercle qui se forcent à parler entre eux le plus souvent possible et donc à passer en boucle les cas de tous les membres du cercle. On a les gens populaires, dont on parle à haute fréquence, et les gens moins populaires dont on parle plus rarement.
On peut être populaire pour de bonnes raisons, lorsqu'on nous reconnait des qualités (j'imagine ?) et pour de mauvaises raisons lorsqu'on vous reconnait des défauts (j'imagine ?). La popularité est donc un sujet qui intervient lors d'élévations sociales ou d'éffondrement.
Je crois que le chiracisme est une sorte d'arme de precision commère qui sert à faire parler d'une personne pour la descendre.
J'ai observé qu'on pouvait parler d'une personne pour la faire monter, mais je n'ai jamis vu de bonnes raisons qui pouvaient justifier celà. Je crois qu'il faut faire intervenir la croyance et le dogmatisme.
Je me suis toujours demandé qui tirait les ficelles, qui décidait de faire monter ou descendre. Il doit y avoir des "influenceurs" comme on dit, qui doivent jouer un rôle dans le dispositif. Mais ces influenceurs, je n'ai pas l'impression qu'on puisse les atteindre par les armes du commérage.
On dirait que le commérage est décidé par le haut de la pyramide commère, et que le haut de cette pyramide n'est pas celui de la pyramide sociale. Comme si pouvoir politique (commères) et pouvoir économique (entreprises) pouvaient ne pas être en accord.
Je me suis demandé si commère et parlement étaient des notions comparables. On a tendance à faire un parallèle entre le parlement et la rumeur. Comme si le parlement serait chargé d'influencer la rumeur et donc d'éxercer son pouvoir d'influence sur celle-ci.
Si la pouvoir du parlement repose sur la raison, on peut penser qu'il aurait un intérêt. Mais s'il repose sur la manipulation, il ne s'agit plus de la confrontation de l'ordre étatique au chaos populaire, mais de la mise en rang du troupeau par les chiens de garde, via des techniques trop efficasses pour qu'il y ait discution.
J'ai l'impression que les institutions organisent des structures présentent à l'état sauvage pour les éxploiter à des fins politiques.
Alors, pour revenir au commérage, je crois que c'est ça qu'on nomme l'anarchisme. C'est un mode de relations sociales ancien, qui vient d'un temps où les réseaux sociaux n'étaient pas répandu et les gens ne passaient pas leur temps devant leur écran. Ils avaient un rapport à la structure sociale plus biologique et faisaient confiance aux mécanismes d'inclusion/exclusion.
Si je voulais diffucer une bonne image de ma personne, et bénéficier d'une inclusion sociale, le commérage me le permettrait-il ? Excisterait-il des moyens d'inverser la vapeur oubien suis-je définitivement grillé ? Est-ce que le commère a une longue mémoire ? Est-il un tacheron, le nez ans le guidons de la réputation, ou un archiviste qui garde tous les dossiers ?
Au niveau des institutions, si l'on est condamné par la justice, on a un casier judiciaire. Les institutions archivent notre parcours et partent du principe qu'on ne peut pas effacer ce qui a été fait. Ce qu'on commet d'illégale reste pour toute la vie. Est-ce que cette conception de l'Homme vient du système commère ? Est-ce que les commères nous reprochent toujours les mêmes choses toute la vie ? Est-ce qu'ils nous réintègrent parmis eux comme un criminel social dont on entretient le souvenir des crimes par le ragot ? SI c'était le cas, ça voudrait dire que le casier social serait la rumeur persistante.
Si l'on devait faire une administration à l'image du système social actuel, je crois en effet que nous serions dans une dictature.
J'ai l'impression de subir des assauts diffus et fourbes, partout, venant d'un quelque chose qui serait semblable à une dictature. Cependant, elle me présente d'elle un aspect commère de sa personne morale via des personnes physiques. Alors, je en sais pas quoi penser. Sont-ils guidé par des programmes auxquels ils obéissent aveuglément, oubien organisent-ils leur actes par des mécanismes complexes de commérage qui me dépassent ? Y a t-il des forces organisées d'influences ET des vagues commères qui se cotoient ? Comment celà est-il organisé ?
Par exemple, mes voisins font-ils partie d'une organisation architecturée ou d'un système anarchique biologique ? Quels sont leurs modes de communications ? Obéissent t-ils à des disciplines communes aux membres de leurs système biologique s'ils en faisaient partie ? Utilisent-ils leurs montres pour se synchroniser avec les autres ? Oubien utilisent-ils d'autres moyens additionnels (langage, symboles, canal de réception d'ordres) ?
J'arrive pas à savoir comment je peux me représenter le commérage en entreprise, entre différentes entreprises, dans un département, dans une région, dans un pays, à l'international, etc. Et surtout, j'arrive pas à comprendre comment on peut créer un contre pouvoir vis à vis de la presse et de sa position autiste dictatoriale. A défaut d'un contre pouvoir, au moins établir un dialogue.
Comme si la presse n'avait pas d'autre fonction que de remuer des chiffons rouges pour permettre au système commère dominant de faire son oeuvre au sein des institutions.
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