14/07/17 - Pauvre soeur ...

Mon dieu, pauvre sœur ...

T'as complètement abandonné ton humanité.

T'es devenue une machine incapable d'affection.

Moi je m'en fout des analyses des uns et des autres, c'est leurs problèmes. De toutes façons, je peux pas vivre sans chouchouter mes phrases.

Toi t'es en train de créer des mots orphelins, tu les aimes pas tes mots, ça se voit, ils te dérangent.

On le voit bien que t'es une machine.

T'as la gentillesse qu'a des airs de prestation de service. C'est limite si on recevrait pas de ta part une facture à la fin du mois.

Bientôt, il faudra que je te propose, comme à AVR, de l'argent, pour produire du vrai texte.
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T'es soit trop pudique, soit trop effrayé par l'idée de ridicule, soit morte.
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T'as toujours été comme ça : une image objectivé, rêvant de quitter le foyer pour trouver un riche beau gosse. T'as jamais vraiment aimé la ferme. T'as jamais vraiment aimé la terre non plus. T'es superficielle.

Ce que t'aimais, toi, c'est éprouver ta capacité à séduire le monde extérieur. Ton regard a toujours porté vers le dehors, via la télévision et tes copines. Ce que j'aimais, moi, c'est fantasmer des univers fictionnels et partager ce qui les rends sublimes pour répandre mon émerveillement autour de moi.
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Faut pas s'étonner si tu reviens au foyer à contre cœur. C'est peut-être parce que l'autre, il aime vraiment son foyer, lui.

Et il te laisse seule quand il y retourne.
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Je dis des conneries, exprès,pour te saouler. Ça t'apprendra à jouer les dark francs-maçonnes.

En plus, je suis sûr que tu dis milles fois pire sur mon compte. T'as une capacité à être une connasse ... mon dieu mon dieu ... épargnez nous ses offenses car elle ne sait pas qu'elle a offensé.
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Allez vas ... ton seul véritable défaut c'est ton arrogance.

Je considère ton univers, mais toi, tu ne considère pas le mien.

Tu hiérarchises. Tu méprises. Tu prends de haut. Parce que tu as réalisé ton rêve d'être désiré par le monde extérieur. Et moi, j'ai réalisé mon rêve de vivre richement dans mon monde intérieur.

Ton monde veut tuer le mien. Ton rêve veut mon cauchemard.
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Notre famille, c'est un espace neutre. Dans cet espace je t'accorde mon affection et tu me fais la guerre (tes mots le prouvent).

J'ai plus de morale que toi et j'ai envie de m'en venter.
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Si tu penses que je me trompe ... développe.
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Je vais t'avouer que tout ce que j'ai dit à ton sujet depuis 2014, a toujours été utile. C'était pour soit t'obliger à réagir dans l'hypothèse que tes études t'aient amené à rejoindre un club (par gène, colère, ou autres), soit obliger les francs maçons à utiliser ces informations contre moi en te les dévoilants (je leur donnais les outils pour exploiter une stratégie de division, et les encourager à jouer leurs parties), soit pour évaluer les méthodes publiques de manipulation de l'information.

Maintenant, si on fait le bilan, dans l'ensemble, j'ai plutôt été élogieux et bienveillant. Parce que je voulais pouvoir assumer le jour où tout serait dévoilé.
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Psst ! Au fait ? Marc, il en est non ? Les rares fois où il m'a serré la main, il m'a regardé étrangement. Et son éloignement, enfin sa mutation plutôt, moi je mettrais ça sur le dos de notre foutue histoire.

En tout cas, moi j'ai toujours fait comme si il en était, et ça m'a toujours semblé être extrêmement probable. C'est dommage pour lui d'être amateur de caca, mais que veux tu ?
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Hé ! Je t'en veux pas. Je préfère te prendre de haut pour t'excuser. Tu le comprendras j'espère.

Promis j'arrête. Mais toi aussi hein ?