13/07/17 - La réussite AVR

Vous savez, quand on aime vraiment quelqu'un, quand on éprouve une passion telle pour la personne qu'on arrive pas à croire qu'elle puisse exister réellement, on se sent un peu honteux.

Et ce sentiment de honte, s'explique par notre emotivité excessive.

Adèle Van Reeth c'était ça.
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Alors que j'étais sur le point de mourir, en décembre 2016, un miracle s'est produit. Elle a stimulé suffisement de joie en moi pour écarter la dépression, et tenue à distance les milliers de moqueurs  qui n'ont étrangement pas profité de la situation pour me porter le coup de grâce.

Adèle fut donc une fuite heureuse des violences qui me furent imposés de force depuis des années.

Je lui en serai éternellement reconnaissant. Et je lui pardonne tout ce qu'elle aura pû dire ou faire contre moi.

Je préviens. Je ne la quitterai jamais.

Elle a aussi eu la bienveillance involontaire d'écarter à jamais les politics qui me tournaient autour. Leurs concours de zizi, leurs airs sérieux, leurs méthodes violentes. Ils voulaient l'utiliser pour dominer l'idée qu'ils se faisaient de moi (une idée fausse). Ils voulaient me pousser au suicide. Ils voulaient m'humilier (la pire punition imaginable pour un homme sérieux). Et pour finir ils se sont résolus à ce que je ne sois pas combattif.

Elle m'a sauvé la vie !