13/07/17 - Proposition à Adèle Van Reeth

Bon, soyons sérieux, sortons de nos rôles, laissons de côté les futilités, postures et autres.

Ça vous dirait une discution sérieuse, sans arrière pensée, avec des habits mal taillés, des gueules à faire peur, dans un café banal de Paris ?

Ce que j'aimerais traiter comme sujet avec vous, c'est​ pas du tout la sexualité, les affaires, etc.

Ce que j'aimerais, c'est savoir si on peut ou non arriver à concevoir une vie responsable, en allant contractualiser la responsabilité, afin d'éliminer la "méchanceté", en la rendant automatiquement punissable. Et en permettant la "gentillesse".

Exemple de situations : mariage, emploi, services hors cadre légal, etc.

Pensez vous que la femme, un être irresponsable, libéral, donc adepte du mal, puisse admettre une société responsable et réglementé ?

J'aimerais vous donner mon opinion, contre la vôtre, et pourquoi pas, me laisser convaincre que j'ai tort.

Ce serait une discussion "banale", détendue, sans pression, sans l'ambition d'être brillante

Une reconstitution des débats LGBT, Famille pour tous, Mariage homosexuel, marchandisation du corps, les limites de l'interchangeabilité des Hommes, le poids moral de la responsabilité, les liens familiaux, amicaux, etc.
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Je vous jure que c'est ce dont je veux parler. Je n'ai pas l'intention de concurrencer Jackie et Michel. C'est pas le sujet.
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En fait je cherche un moyen de reconstruire un moignon de conviction à défendre, bec et ongles, comme résidence spirituelle.

Vous m'avez déjà beaucoup aidé, involontairement, cette discussion serait peut-être, le moyen de me rendre ma liberté de penser par moi-même. Parce que, je peux pas vous faire confiance si vous m'exposez à de telles paniques quotidiennes, de la part des autres, part rapport à vous-même.
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Vous voyez,je pense que l'injustice est féminine, car la justice est une femme.

La femme qui ne condamne pas les actes d'un homme contre ses semblables, est coupable de ses actes. La femme qui convoque le criminel au sein de la société est coupable de ses crimes. Je pense que le mal est proportionnel à la responsabilité des femmes. Je pense que la femme nourrit le mal, et que sans elle il n'existerait pas.

Depuis le début, mes malheurs, je les attributs aux femmes.

J'ai été victime du mal. Qui a laissé vivre ce mal ? qui l'a alimenté ? qui l'a affectionné ? Des femmes. Des femmes qui ont intérêt à ce que les hommes se battent les uns les autres.

Ce qui ne plaît pas à la femme, c'est que je la tienne coupable, que je la prenne au sérieux, que la tienne responsable, que je lui donne toute sa place d'adulte. Ce qui ne plaît pas aux femmes, c'est aussi mon absence de recours au mal.

Je n'agresse personne puisque je n'espère rien des femmes. Je suis la preuve vivante que l'homme sans femmes est un homme bon. Je suis la preuve que la pucellerie est une voie haute qui mène à la bonté.
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Alors ? En matière de méchanceté  ? Doit on avoir recours  aux contrats ? Ou à la loi de la jungle (la liberté d'être irresponsable ) ?

Avez vous le sentiment d'être en partie responsable de cette cabale mené contre moi ? Et si c'est le cas, ce que j'espère, êtes vous pour qu'on me protège légalement ? Oubien, qu'on me console du mal qu'on me fait à hauteur de la capacité des autres à être responsables dans un cadre qui ne les y obliges pas ?
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Votre constance dit de vous que vous êtes soit antilibérale, soit liberale disposant d'une âme imprégné de morale, soit une cynique soucieuse de préserver un avantage.

Vous admettrez que ces 3 propositions sont incompatibles et ne m'éclairent pas du tout sur votre cas.
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Si on postule que votre constance est imposé par votre métier, alors là c'est plus simple : vous êtes soit schizophrène (cynique et morale), soit exclusivement cynique.
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J'aurais aimé pouvoir vous situer pour trier ce qui est possible ou pas dans l'horreur de ce qu'on associe à votre personne.

(( S'il vous plait, soyez indulgence, même si vous l'avez toujours été jusqu'ici ))

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