31/03/18 - C'est dur la poésie


Je fatigue à force de lire Tolkien. C'est le zombie que je suis devenu qui réalise ces gifs douteux. 

On dirait les graphismes d'un ancien jeu pour ordinateur.

On pourrait mettre des légendes pour chaque gif. Pour le premier : "Ce rêve. Cette fôret. Que m'est-il arrivé ?".


Pour le second, je voulais voir à quoi ressemblerait l'animation d'un liquide coulant, avec mes petits moyens. Ca me semble intéressant. Je pense que le monde gagnerait à avoir un film d'un quart d'heure dans ce style.

Dans le cas présent, le grand problème est le manque d'imagination. Donc il ne faut pas s'étonner de le contemporanéitée du sujet traité.

Si on remonte aux origines de mon blog, on se souviendra qu'il était dès le début prévu de ne pas mettre en illustrations, ou en mots, d'idées issues de pensées profondes, personnelles, qui auraient mobilisées une grande quantité d'affectes. Ca éxplique aussi pourquoi je suis monomaniaque et mon attention ne porte presque que sur AVR. J'ai pas l'intention de jeter mes autres objets d'affection en pâture aux débiles.


Le dernier gif fait très RPG. On dirait une vieille série de Point & Click. On a envie de lui cliquer dessus pour savoir pourquoi elle dort. Enfin moi en tout cas j'ai envie.

J'imagine un clic qui la surprend dans son sommeil à dire : "Oh Guildebert. Pas tout de suite, pas ici, allons chez moi".


Commentaire AVR

Mon Adelounette, j'ai regardé votre prestation à la Sorbonne, vous étiez parfaite. C'est fou votre aisance à l'oral.

Je sais bien que c'est votre métier de présenter, je me doute bien que c'est déjà écrit à l'avance tout ce qu'on voit et entend, mais j'arrive pas à comprendre comment c'est possible d'organiser la réunion de gens autour d'une même scène pour parler d'un même sujet comme vous le faites.

Si on prend deux secondes pour y réfléchir, la maison de la radio c'est un grand bâtiment, il doit y avoir quelques employés qui doivent avoir quelques tâches à effectuer. Parmis ces employés, il y en a qui doivent organiser des émissions à la Sorbonne entre autres.

Mais malgré tout, j'ai du mal à comprendre que ce soit possible de mettre un scène, au quotidient, une mini pièce de théatre à une seule représentation.

Et vous, vous venez, vous jouez votre rôle, tous les jours. C'est dingue.

Si j'ai bien compris, mais je me trompe peut-être, les entreprises de médias audiovisuels sont des usines qui tournent indifférement au service des équipes qui ont été choisis pour occuper la grille des programmes. Donc, pour prendre une image, vous, ou votre équipe, ou les gens qui vous dirigent, ont un clavier sous les yeux avec des boutons qui déclangent des fonctions au sein de l'entreprise.

C'est un peu comme dans une école en fait. Quand en classe on nous laisse le choix d'effectuer un voyage scolaire de fin d'année parmis une séléction, on ignore complètement comment il est organisé.

Moi, vous voyez, ce que je cherche à faire c'est me rendre capable d'effectuer seul une version brouillon de n'importe quelle oeuvre audiovisuelle qui m'agiterait l'esprit. J'ai pas l'intention de mobiliser des caméras de cinéma, des locaux remplis d'animateurs, des bureaux de sénaristes et de directeurs en tous genres comme on en voit dans les grosses productions de cinéma. Ce qui veut que j'ai du mal à accepter d'être un employé dans une entreprise non audiovisuelle qui répond aux ordres engendrés par un bouton.

Je crois que vous avez voulu faire un échange croisé. le bas hiérarchique d'une entreprise au sommet d'une autre, et inversement. Liant une entreprise audiovisuelle et une entreprise d'un autre secteur. Vous vous disiez peut-être que c'était une bonne idée ? Vous avez pensé à me demander mon avis avant ? Non. Je vous le dis, je ne suis pas d'accord.

Mais c'est vous ou l'usine qui refuse le contact ? Vous êtes un agent médiatque qu'on garde à distance des champs de culture, oubien c'est vous qui décidez de garder vos distances pour des raisons personnelles tout en continuant un jeu actif de réponses vagues ?

Moi je m'entête parce que je refuse d'être un acteur médiatique de bas étage. Vous, vous êtes pour moi ce que le monde médiatique a de meilleur.

Donc, à défaut de savoir si vous commandez ou êtes commandée, je sais que c'est vous qui devez être mon interlocutrice. C'est pourquoi je n'ai de cesse de vous demander à ce qu'on se voit.

S'il n'y avait pas de problème vous ne seriez pas la solution, non ?

Vous parlez de questions-réponses philosophiques pour vos émissions. Mon problème à moi est une histoire d'humiliations-recrédibilisations médiatiques.

De l'autre côté du miroire il y a du bas peuple et je refuse de les cotoyer d'égal à égal, si vous voyez ce que je veux dire.

Parce que la qualité d'un cercle est supérieure à la qualité des relations que l'on entretient avec ce cercle. Les carences relationnelles se compensent aisément par l'imagination.

Comment supporterais-je que des gens de piètre qualité me forcent à joindre leur cercle ?

Tant que ce sera le cas, vous serez le membre unique de MON cercle de belles personnes. Une somptueuse barbie, ayant un physique Hollandais, qui cumule toutes les qualités, qui fait partie d'un milieu aisé, qui attire la crême de tous les représentants médiatiques de toutes les disciplines, et qui m'est formellement interdite.

Bisou. Vous savez, en plus je vous aime pour de vrai, même si cet amour est accessoire compte tenu de la situation. Je veux dire, qu'on s'aime, fasse des gosses, qu'on se mari, qu'on vive une longue vie collés l'un à l'autre, etc. Ca vend du rêve biensûr, mais c'est un peu secondaire par rapport au problème médiatique. Etant introverti, ma priorité est de retrouver la propriété de m'on monde intérieur. Je veux pas vivre pour satisfaire le bas peuple. Je revandique la propriété de ma vie et le droit d'en faire ce que je veux.

Si j'avais le choix je lâcherais un bon gros nuage noir façon Melkor pour me cacher dedans et faire en sorte que plus personne ne soit en mesure de voir et savoir ce que je fais.

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