14/03/18 - Où j'en suis avec le Silmarillion


Ca avance. J'ai bientôt fini de comprendre et retenir ce que sont et font les Valar, Valier, Maïar, Balrogs, esprits divers corrompues ou pas, et Melkor.

Il y aurait comme une difficulté à la base, qui ne serait pas de mon fait.

De toutes façons, la couverture est en dominantes turquoise et rouge. Ca veut tout dire. On sait que le lecteur il va s'en prendre plein la gueule.


Pour résumer, chez les Valar on se partage le monde en domaine chacun ayant son domaine de prédilection. L'air pour Manwë, les étoiles pour Varda, l'eau pour Oromë, la souffrance pour Nienna, la guerre pour Tulkas, la chasse pour Oromë, le végétal pour Yavanna, la mémoire la mort et le jugement pour Namo, les rêves pour Irmo, etc.

Je pense consacrer encore un peu de ma soirée à terminer de relire et retenir les dernières fonctions des derniers Valar, et je pourrai enfin commencer le Quenta Silmarillion et sa longue, tortueuse et complexe histoire des migrations elfes à travers un pays dont la morhologie m'est encore inconnue.

On a déjà quelques éléments dans Ainulindale et Valaquenta sur ce monde dont nous parle le livre. On sait que Arda se trouve en Eä. Arda est le nom que lui donnent les elfs mais les humains l'appellent la terre.

Tout se trouve en Arda, dans tous les livres, dans toutes les histoires.

J'ai jeté un coup d'oeil dans l'index des noms en fin de livre, au mot Aman. Parce qu'on nous parlera beaucoup d'Aman. Et on nous dit que les Valar se trouvent en Aman, qui se trouverait en terre du milieu, et qui serait au delà de la Grande Mer, à l'Ouest de L'île d'Almaren.

Donc déjà on peut visualiser une île, et la terre du milieu, sans parvenir à se faire une idée des tailles respectives de l'un et de l'autre, ni de la taille du pays d'Aman au sein de la terre du milieu.

Dans Valaquenta on nous parle de la vile de Valinor, sans nous dire où elle se trouve, et on nous précise qu'à l'ouest de cette ville se trouve la ville de Mandos. Il est aussi fait mention de la ville de Lorient, sans plus d'informations.

J'ai essayé de me représenter schématiquement les zones géographiques qui nous sont proposées, et d'y positionner les Valar en fonction de leurs demeures respectives, mais l'on obtient rien de clair. On ne peut que faire une sorte de schéma de logique mathématique avec position spatiale relative.

J'ai réussis à terminer et à bien comprendre 23 pages sur 437, ce qui représente 5,3% du livre. D'ici demain, si tout se passe bien, je pourrai dire que je suis à 10% d'avancement.  Il ne me restera plus que 20 jours pour en avoir fini avec lui.


La seule carte qu'on nous met dans le livre c'est celle du Royaume de Noldor et des Sindar. Aucune mer, pas de grand nord, aucune île, il n'est pas fait mention ni de la Terre du Milieu, ni d'Aman, ni de quoi que ce soit. Une ridicule zone qui semble concentrer toute l'attention. Comme si le reste était anecdotique, un prétexte à des voyages qui ne seraient concevable que par rapport à ce point de référence.

Je trouve ça bête parce que j'aimerais bien voir à quoi elle ressemble la côte qu'habite les Teleri, la forme des îles, et les distances qu'ils parcourent tous. Ne serait-ce que nous montrer le Taniquetil au sommet duquel trône Manwë. Ca me semble important quand-même par rapport à l'univers et à sa compréhension.

Commentaire AVR : Ce que j'aime bien dans les tweets du jour autour d'AVR c'est qu'elle en est la cible. Pour une fois que c'est pas moi qu'on insulte, je me repose, ça fait du bien. Enfin c'est pas vraiment de l'insulte, c'est des piques en-dessous de la ceinture. C'est le genre qui fait mal aux nerfs, donc je suis contant de voir que c'est pas pour moi. Ca fait des années que je souffre le martyre parce que j'ai eu la mauvaise idée de jouer le rôle de Jean le puceau d'Orléan. Si elle pouvait garder l'agrro je dirais pas non, parce que moi ça me repose.

AVR, si vous saviez tout ce qu'on me fait subir, vous en croiriez pas vos oreilles. Et ce qui fait que c'est invivable c'est que je peux pas rendre la pareille. Je garde la souffrance en moi parce que la société a encore de la violence sous le coude, tout le temps, de la part de tout le monde, et à toutes les échelles. Rendre la violence quand on est tout en bas de l'échelle sociale c'est s'assurer un retour de baton encore plus fort. On est obligé de subir. Et il semblerait que la société ne se satisfasse jamais d'une quantité de violence définit, puisqu'elle en rajoute tous les jours une couche.

J'ai repensé au film d'Hitchcock dans lequel on utilise un couteau comme arme, j'ai repensé à une toile de la renaissance Romaine qui représente un Jésus percé de lances, j'ai pensé à la flèche de Cupidon, et je me suis dit que le stresse que j'éprouvais tous les jours depuis des années devait être comparable à ce que ces oeuvres tentent de représenter. Ce "coup de couteau" comme je le nomme. Cette blessure physique déclanchée par un stresse oppressant. Cette sensation qui tent le corps, qui le crispe, qui ferait presque grincer des dents.

Ben j'espère que vous allez ressentir ça à ma place. Hahahaha. Vous avez l'air solide, votre santé vous permet de faire le tour de tous vos plateaux, studios et conférences. Moi je ne peux pas en dire autant. Je reçois des coups de couteaux des voisins et des passants à longueur de journée, en plus d'internet. Je n'ai plus qu'un rapport douloureux à autruit.

Sinon je ne comprends rien à vos émissions mais j'écoute avec grand intérêt. Je ferai l'effort, plus tard, de lire certains des livres et regarder certains des films dont vous parlez, mais je n'en ai pas la force pour l'instant. Bisou.

Juste au passage, j'aime bien votre photo twitter parce qu'on dirait que vous vous foutez de notre gueule les yeux dans les yeux. On dirait un troll. C'est mognon. Gros calinous doux pour vous.

C'est marrant que vous parliez de Georges Tron parce que j'ai rêvé que je vous baisais les pieds il y a pas très longtemps. C'est pas une coïncidence de dingue ça ? D'autant plus que je ne suis pas fétichiste. Par contre je me souviens pas de comment on en était arrrivé là. C'est con parce que du coup j'aurais bien aimé savoir le prétexte pour savoir s'il était valable et réutilisable pour d'autres choses de la vie de tous les jours.

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