15/03/18 - Le maximum commun


On dirait qu'il y a une loi qui veut que l'on désir le maximum du commun quand on est prit par le public. A l'inverse, on désir le maximum singulier quand on est en prise sur le public.

Gui n'a été possible qu'à partir du moment où j'avais prise sur la réalité en me sentant protégé en moi-même, derrière une face travaillée et une attitude de faux cul. Je me sentais hors de toutes prises et donc j'investissais dans la singularité d'un Gui.

AVR a toujours correspondu à un idéal commun, une sorte de maximum des valeurs attribuables au sexe féminin du point de vue de la collectivité. Je me disais toujours que le jour où j'entrerai dans la collectivité il faudrait que je m'arrange pour obtenir une sorte d'AVR.

En décembre 2016, je suis à bout, Gui est perdu, je fonce sur AVR. A bien y réfléchir c'est une attitude tout à fait logique. Et je n'arrive pas à comprendre pourquoi je suis le sujet qu'on observe sans contact depuis l'éxtérieur. En quoi mon comportement est-il si particulier ? C'est la logique même.

On me propose toutes sortes de discours absurdes pour me pousser à choisir le minimum commun. Et en même temps on me consacre le maximum de l'attention commune. Si l'on me consacre autant d'attention, c'est donc que l'on cré les condition pour que je choisisse le maximum. Si l'on me consacre moins d'attention, on cré les conditions pour que je choisisse le minimum.

L'attention, plus elle est importante et plus elle efface le singulier, non ? Elle agresse le réel par des jugements de valeurs hiérarchisants qui poussent toujours à choisir le maximum du point de vue de cette hiérarchie.

Donc, ce que je dis depuis le début est vrai. La situation durera tant que l'observation durera. Si le maximum commun ne veut pas de moi parce que je suis le minimum commun, et que le minimum commun veut du maximum commun, on est bloqués. Tout ce qui reste à faire c'est de dédommager les deux parties pour avoir été victimes du jugement commun et de son impuissance à proposer une alternative au singulier qui soit suffisente.

Pour résumer il me faudrait AVR pour que le crime ne reste pas impuni. Sans ça, ben, il s'agirait juste d'arrêter de me saouler et de me laisser avec mes amis imaginaires puisque vous me prenez tous les autres.


C'est vrai que si on m'avait pas fait un coup à la 2014, j'aurais à coup sûr su me satisfaire de n'importe qui pour former un couple. J'aurais essayé d'avoir un pouvoir dans ce couple et de le façonner en fonction de mes désirs. J'aurais rejoué une Gui. J'en suis sûr. Il ne me fallait qu'un salaire, un emploi donc, et le tour était joué.

Malheureusemnt vous avez tout détruit en 2014. Maintenent le pouvoir j'y crois plus. Ma logique a tout calculé, et elle me dit que c'est cuit. Elle me dit que je n'ai plus qu'un seul choix : viser le maximum commun et ne rien négocier.

Ma logique m'a dit que le seul choix raisonnable, compte tenu du vol de mon pouvoir par la collectivité, c'était le fatalisme avec espoir de sommets.

C'est du kamikaz en quelques sortes. On ne parle plus de vivre mais de choisir sa mort.


 Tu m'étonnes qu'AVR elle soit des observateurs. Sans observateurs elle aurait pas son statut. C'est l'observateur qui fait la collectivité, les valeurs et la hiérarchie qui la met à sa place.

Elle a intérêt à ce que je me fasse violer et elle a intérêt à ce que je consacre ma vie à attendre face à ses refus.

Quand on a dit ça, on a rien changé aux faits. C'est l'observateur qui doit disparaitre, c'est lui qu'est responsable. La collectivité est responsable de la qualité des sénarios qu'elle propose.

En toute logique, AVR devrait être contre l'observation, donc pour ma libération.

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