29/10/18 - Mon Viol

Depuis les menaces de mort de 2014, je suis violé, et c'est à cause de ce viol, sans arrêt, pour une raison que j'ignore, qu'ils commentent tout et n'importe quoi.

Alors, 90%, peut-être plus, des commentaires sont automatiques, ils s'inscrivent dans un système de gestion globale des psychologies de masses. On a des thématiques qui sont prises, utilisées, et tous les médias, et toutes les émissions, participent à l'accompagnement de la mise en scène thématique du moment m.

Je crois que ça s'inscrit dans un ensemble de pratiques médiatiques qui sont généralement associées à une allégorie de l'énergie. Considérant peut-être que les passions humaines peuvent être éxcitées cycliquement à l'échelle globale.

Par exemple, il y a quelques jours il était question de Wauquiez, on a parlé de son débat, on a laissé circuler des mots relatifs à des rapports sexuels, et on a suivi les conséquence de cet évènement délirant global en y associant : salope (j'ai vu ça sur tweeter).

Je crois que l'étape suivente sera de gérer les suites de ce récit, afin de lui faire suivre un centier narratif global, qui se substitut à l'Histoire. Quand on dit que c'est la fin de l'Histoire, on dit en fait qu'on a remplacé la politique par un délire global géré par tous et organisé autour d'un récit cyclique prédéfinit qui prend en compte les pulsions basiques de l'Homme.

En gros, Big Brother a poussé la femme virtuelle totale à tromper le citoyen du monde. AVR par exemple, peut jouer la rôle de cette femme virtuelle globale, autant que toutes les autres.

Quand on m'a violé, on a essayé de profiter de moi pour me faire rentrer dans le cycle narratif global. On a voulu m'inclure dedans pour que je me fasse tromper, séduire, insulter, agresser, aimer, détester, etc. par l'entité globale qui décide des choix de toute la société du spectacle.

Cette personnalité globale est la création artificielle d'un contexte. Tput ce dont j'ai horreur. Elle va produire des actes irationnels visant à simuler une psychologie de masse, masse détenant un secret.

Le secret que nous cache la masse est constitué parfois de brefs références à ma personne, parfois à d'autres, et surtout à ce que l'on désire renvoyer à la population comme image de lui-même.

On veut que les gens suivent le mouton de tête, et celui-ci est virtuel. Quant aux références à moi et aux autres, elles sont là pour "ass fuck", et dire en somme que l'on a pas le droit de s'éxprimer dans un pays totalitaire comme la France. Le pouvoir veut que l'on se taise. Mais le pouvoir veut aussi que l'on ne rélféchisse pas? Et le pouvoir veut que l'on ne s'ennuie pas. Et le pouvoir veut que l'on n'ai plus aucune ressource physique ou mentale le soir venu, au moment d'aller se coucher.

Est-ce que ce serait possible d'arrêter de me violer et de me harceler ? J'ai pas l'impression de menacer le bon fonctionnement de la techno-dictature française.

Et non, la honte n'est pas dans le fait qu'on se fasse voler une pensée en cours de construction. Elle l'est dans le fait que des gens professionnels, capables de voir les idées arriver, peuvent les prendre et les épuiser avant que celui qui en est à l'origine n'ai eu le temps d'apprendre à les éxploiter. D'ailleurs c'est moins une honte que la sensation de se faire voler sa vie, ses espoirs, ses rêves, ses efforts, et tout ce qui s'en suit.

C'est pas parce que je ne montre rien que je ne souffre pas. Si on mesurait la souffrance physique et psychologique que j'endure tous les jours, les choses seraient très différentes. On a pas idée de ce que ça peut être d'être à ma place.