23/01/18 - G W Leibnitz
CDLP M'intéresse
Leibniz
On peut
le dire, j'ai rien compris à rien. J'ai identifié quelques mots,
par-ci par-là, du genre qui rend moue, mais à part ça … rien. Il
semblerait que ce soit la tendance, sur France Culture. La mode est
au retour de la complexité.
Est-ce que je peux redire quelque chose
des émissions d'hier et d'aujourdhui ? Ca risque d'être
difficile. On nous dit qu'il a fait plein de choses, qu'il avait
comprit plein de trucs avant tout le monde, mais quoi ? Mystère.
Je me suis demandé si on nous parlait
pas de la femme au travers du bonhomme.
Comme d'habitude, on ne comprend rien. Il faut connaître
parfaitement Leibnitz, je crois, pour pouvoir enlever ce qui le
concerne et garder le message. Et inversement il faut ocnnaitre le
message pour pouvoir l'enlever et garder du Leibnitz.
! Je viens deréécouter la première
émission sur Leibnitz, en fait ça parle de possibles. Il est
question de fleuves, et d'autres choses. Je crois que ça parle
d'AVR, qui serait « bonne » d'après dieu. Et il est
question de « perfection » comme la liste de youtube dans
laquelle j'ai mis une conférence d'AVR.
Mais ça reste compliqué.
Elle aurait dit oui à quelqu'un ?
Et ce serait le meilleur ? J'ai rien compris. A moins que ce ne
soit une façon de dire que celui qui a été choisit à la tête
d'un système hiérarchique choisit ce que ce système hiérarchique
désigne comme meilleur. C'est le point de subjectivité qui me
dérange. J'arrive pas à savoir d'où ils se placent quand ils
disent ça.
RE
Dans Résident Evil, les personnages
font pitié, surtout le negwe. Ils sont anorexiques au stade terminal
et ils se baladent avec des équipements, comme s'ils allaient faire
mal à qui que ce soit. Le Negwe il a une voix dégueulasse, en plus
d'avoir une tronche à se manger des claques dans sa sale tronche.
J'avais un pote qui aimait bien la
série de films, il disait que l'idée du virus était plus intéressante que dans d'autres films du genre qui ont un sénario
pauvre. En fait, il aimait juste la bonnasse, mais il voulait pas le
dire (c'était un coincé du verbe).
Plus tard on a été voir un film au
cinéma, français, je sais plus le nom. Il avait l'air d'avoir couté
cher. Les décors, l'intro animé, le final animé, tout puait le
pognon. Il y avait des acteurs français bas de gamme du genre pour
ados des années 2000. Dans ce film il y avait une scène de boite de
nuit dans un château avec des actrices qui dançaient à poil sur
des barres de pole dance. Et bien le pote en question n'a pas aimé
le film à cause de ça. C'est là qu'on se dit qu'il est de mauvaise
fois. C'était pourtant les mêmes types de filles, mais là ça
devenait plus éxplicite.
Puisque j'ai regardé Alien il y a pas
longtemps, je regarde RE avec un œil différent. RE c'est très
années 2000. Leur habits, leurs manières, leurs anatomies. Il y a
une grande quantité d'éxotiques, comme pour compenser la présence
de la bonnasse. On se dit que c'est trop d'eugénisme d'un coup pour
l'oeil.
Ce que j'ai remarqué aussi c'est que
dans ce film comme dans d'autres, pour faire sursauter un auditeur,
il faut un calme suivi d'une très brève éxplosion de basses, qui
s'efface aussi tôt pour laisser place aux fréquences au dessus. La
petite poussée de basses fait l'effet d'une tape dans le dos.
Les décors sont nuls. L'amateur de RE,
j'avais été voir le 2 avec lui. Il me semble, de ce que je garde de
souvenir de mon avis d'après visionage, qu'il est plus intéressant
que le 1. Le 1 est ennuyeux parce que les acteurs y sont dégouttants,
les décors font bureaux d'entreprise de gestion comptable, et
l'histoire est pas intéressante. Le donjon et dragon du futur avec
un virus et des zombies ça m'a jamais intéressé.
Je me disais que la bande son était
bien, mais pas tant que ça en fin de compte.
Il y a un passage dans lequel l'héroïne
frappe un écran d'ordinateur par lequel s'éxprime l'intelligence
artificielle centrale. Une fois l'écran cassé, ailleurs, l'unité
centrale disjoncte. Est-ce que c'est volontairement débile ou c'est
parce que c'est fait par des gens qu'on jamais fait un cours
d'éléctronique de leur vie ?
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