07/01/18 - Mon oreiller m'attend là-bas

L'employé de police l'a dit, Vautrin (alias Trompe la mort), n'aime pas les femmes.

Eugène discute avec Goriot, encore et toujours, qui veut avoir des nouvelles de sa fille, encore. Goriot ne supporte pas le prussien de mari de sa fille et aimerait mieux avoir Eugène comme gendre. Engène pense aller voir le père Taillefert (père de ictorine) pour une histoire peu claire ... je ne sais pas si c'est pour lui refourger sa fille ou si c'est à cause d'un duel qui impliquerait le frère Taillefert et qui le metterait en danger de mort. Goriot dit à Eugène qu'il n'est pas question d'aimer une autre fille que la sienne, et qu'il devait choisir.

L'heure du diner approche, Vautrin fait demander du champagne et du vin à table, et il invite Eugène à payer. Tout le monde est saoule. Eugène dort. Une des dames de la pension fait remarquer qu'Eugène a l'air d'une jeune fille. Vautrin le lui avait déjà dit plus tôt.

Vautrin fait remarquer qu'il éxiste dans les gens des voies que cache le seigneur (les voies impénétrables ?). Quelques pages avant, Eugène disait : "je ne suis pas votre confident !". Encore avant, Vautrin disait : "vous vous arrêtez au seuil de la porte" et ajoutait quelque chose du genre : mais vous la passerez tôt ou tard.

Vautrin embrasse le front d'Eugène endormi sur la table à manger de la pension, trop saoule pour être conscient de quoi que ce soit. Une dame le voit faire et dit : "il est fou".

L'histoire entre Vautrin et Eugène, pour le coup ça m'intéresse. Je me demande s'il va y avoir ce qu'on nous promet.

Si on se souvient, au début du livre, on nous présentait la rue Neuve Saint Genevière comme un endroit ou les pavés étaient "couverts de boue". Alors, du coup ... il s'agirait que ça avance cette histoire. Je ne suis plus qu'à 90 pages de la fin, il va falloir commencer à mettre la vitesse au dessus.