21/04/17 -

J'ai plaisir à me relire, malgré l'avis négative que je me fais de ce que j'ai écris.

En fait, c'est seulement quand je suis très très très très mal, déprimé et épuisé, que je suis pathétique. Et aussi quand je suis ivre. Dans ces moments, je peux me mettre à pleurnicher, prendre une petite voix et enchainer les niaiseries. À la réécoute, ça fait toujours mal à l'égo. Je considère que ça, ça fait partie des efforts incessants qu'on a menés pour me salir.

Et à chaque fois, quand je vais là où on me force à aller, on me sort le célèbre mot : "malaise". Malaise par-ci malaise par-là, et vas-y que je t'en remets une couche, puis une autre.

J'ai l'impression d'être dans une émission de téléréalité de merde. Une saloperie sans intérêt. Un truc dont tu ne peux sortir que sale, violé et humilié.