14/04/17

Je deviens hypocondriaque quand on me dit que j'ai un problème de santé. Je donne du sens à tout. C'est complètement con.

Parmis les méthodes toxiques de limitation des hommes, en plus des femmes, il y a le diagnostic médical alarmant.

Hé ! La toxicité, entre nous, c'est un outil de limitation de la puissance, non ?

On oblige quelqu'un à se retenir d'agir par crainte d'un mal ou dans la perspective d'obtenir un bien.
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Moi, honnêtement, je pense que si on me disait à l'hôpital que je devais crever dans les mois à venir, je pleurerais, mais ne me sentirais pas plus mal que d'habitude. Mentalement, je suis presque déjà mort.

Ma renaissance ne tient pas à grand chose. Il suffirait juste qu'on me lâche la grappe, vraiment, pas en semblant le faire.

Je suis fatigué des gens qui m'entourent et faignent de ne pas savoir ce que je fout en dehors de leur cercle sensible.

Au delà d'un certain pourcentages de coïncidences sur la totalité des messages produits, je valide l'existence d'un occulte canal d'informations.
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Je comprends pas que personne ne soit interpellé par ce qui m'arrive. Et pourquoi moi ? Dans le genre inutile, je suis le meilleur.

Je ne veux que vivre paisiblement, sans rien demander à personne. C'est trop demander ?
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Mais qu'est-ce qu'ils ont tous avec le parfum ? Et LAUTRE... mais lui ... il te renifle une mouche qui pète. Lui, va falloir qu'il s'enrhume par ce que là il a le nez beaucoup trop sensible. Quand la victime pue le fauve il aime pas, et quand une personne pue le parfum il aime pas non plus.

Avec lui, il faut juste sentir le propre, même quand on fait des efforts physiques par 40°C à l'ombre.

Quand on a un nez comme ça on va pas emmerder les gens quand même, non ? Je sais pas, on s'insensibilise ou on s'isole. On envisage la possibilité qu'on est handicapé. On essaye de se poser des questions.
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