29/08/18 - Les douleurs articulaires

Donc, là, j'ai mal un peu partout, et comme si tout allait parfaitement bien il y a l'autre qui s'excite et qui frappe dans les murs. J'ignore ce que ça veut dire, quel est le langage qui utilise ce mode d'expression. Ca me tend, je crois, et ça presse les articulations, et ça augmente la douleur. Je crois que la douleur est liée à la tension que les coups produit.

Donc là j'ai mal à la nuque, douleur 8/10, aux hanches 3/10, à l'épaule droite 4/10, et pour le reste ça peut aller. Mais ! Sur le gif on a toutes mes douleurs actuelles régulières qui me font vivre un calvaire quotidient.

Là on voit mieux. A vrai dire j'ai presque plus un seul endroit où ça ne lance pas.

Je suis venu chez eux avec des douleurs, ça allait mieux, et ça ne reva plus mais encore pire qu'avant. Qui est le débile, à enfermer en taule, qui s'amuser à provoquer des douleurs physiques chez les gens ? C'est qui le débile profond, bon pour l'asile psychiatrique, qui va torturer sa victime comme si c'était un animal déstiné à l'abatoire ? C'est qui ? C'est qui qui ?

Le voisin est moins pire d'une certaine manière parce qu'on ne sent pas le sadisme dans ses agressions. On sait qu'il le fait mais qu'au font il en a rien à faire. C'est rigoureux.

Là non, ça sent la méchanceté, la cruauté, le sadisme, la laideur, la putréfaction, le cadavre, l'équarrissage. On donne à manger aux oiseaux pour tirer au fusil de chasse dedans. Et si l'animal est pas mort, il perdra connaissance avec la douleur dans la bassine où on l'a foutu, hein ? Hein ? Hein ? Hein ? Hein ? Hein ?

Hein ?!

HEIN !!!!?

Ca fait mal. Vous arrêtez vos débilités. C'est marqué ni pute, ni animal d'élevage sur ma gueule.

Je mange du matin au soir des agressions, depuis des années, si quand je viens là j'en prends encore plus, je vois pas à quoi ça sert que je viens. J'éstime que je décors le lieu. Ma voiture elle fait genre vous avez des visites. Il y a des bruits de vie en plus qui arrivent. Un son de clavier. Il y en a qui seraient très heureux d'avoir un humain décoratif dans leur baraque vide.