16/08/18 - Barbie !
Ca y est, je l'ai eu mon rendez-vous avec la psychologue.
Depuis quelques jours je me disais qu'elle devait être médiocre, j'ai envisagé qu'ils aillaient tenter Barbie, mais j'y croyais pas trop. Je l'ai eu au téléphone, elle avait une façon de parler assez vulgaire, le genre secrétaire en crise de nerfs.
Arrive le rendez-vous, je la vois, elle est là, debout face à moi, dans sa légère robe blanche à petits motifs noirs, grande, fine.
Elle me tend la main pour la serrer, moi je l'ai essuyé au maximum sur mon jean pour pas qu'elle soit trop moite. Et quand on se serre la main, elle la regarde attentivement avant de me tourner le dos et prendre la direction du couloir, jusqu'au bureau d'avant le psychiatre, le bureau ou me recevait l'infirmière, la première.
Elle s'assoit, je m'assois. Elle me parait plus petite assise que debout, plus fine, avec plein de détails compacts, genre de montre a méchanismes compliqués. Tant qu'elle affiche l'heure diront les débiles. Ben là elle affiche bien son esthétique de haut niveau.
Tout de suite je me suis fixé sur sa machoire. Le haut de la tête carré, la machoire plus fine, anguleuse. Elle est fine, on ne voit pas grand chose.
Elle a la main sur la bouche, regarde vers le bas, je ne sais quoi, et me demande de lui dire ce qui' m'amène.
J'ai parlé, parlé, parlé, sans arrêt de tout et n'importe quoi, de choses qui ne la concernent pas, et elle elle a écouté sans objecter grand chose.
Parfois, je l'observais et mon cerveau s'arrêtait, l'envie de parler s'en allait, j'aurais voulu rester silencieux, le regard dans le vide, mais je m'éfforçais de reprendre mes paroles incohérentes contre vents et marés. J'ai parlé logement, nervosité, voisinage, j'ai même dit que si on m'envoyait dans un quartier j'allais me suicider, mais elle s'en foutait. Elle se foutait un peu de tout ce que je lui disais de toutes façons, elle avait l'air vraiment pas concernée.
Ce qui m'a fait buggé le cerveau c'est que sa main sur sa bouche, elle l'utilisait pour se frotter le nez, ou j'en sais rien et moi en la regardant j'ai dit un mot qui contenait le son du mot "nez", "nécessaire" un truc comme ça. Elle a réagit et ça m'a déconcerté.
La seconde chose c'est qu'un moment elle, qui avait les jmabes croisées, prend le tissu de sa robe la lève, on entrevoit el haut de sa cuisse, et là je remarque que tout ce que je dit est un enchainement de "que".
Au moment de partir, je fais bien attention à ses mains, elle en a des comme AVR. Au début ça intrigue, mais très vite on s'y fait. C'est des mains intéressantes.
Elle s'est levée, elle faisait une demie tête de plus que moi, mais en imposait pas du tout, elle donnait l'impression d'être égale en "énergie vitale". Par comparaison TAB elle donne l'impression d'être plus imposante en "énegie vitale". Par énergie vitale je veux dire la capacité à agir sur tout et n'importe quoi. En fait, elle semblait pas puissante.
Donc face à elle ce que je ressentais c'était pas une excitation, ni une hydratation, mais une envie de la gifler. Je sais, c'est étrange. Quand on la regarde, on a envie de la gifler pour qu'elle arrêter d'être une Barbie. Et on veut pas laisser les autres le faire à notre place. On veut le faire soit-même, aller lui déplacer sa machoire de luxe pour qu'elle revient parmi les mortels.
Je pense pas qu'elle me brûlait, mais elle arrangeait rien à la brûlure initiale.
Je pense que je prends pas bien la mesure de la chance que j'ai eu d'avoir un rendez-vous de ce type avec un physique de ce type, bien qu'il ne se soit rien passé et que je n'ai fait que parler.
Parce que oui, de mon côté j'ai été pénible, je me suis retenu, j'ai parlé dans ma barbe, avec mes cheveux de toutes parts, mes habits de SDF et mes odeurs de terreau. Tandis qu'elle, elle complote avec des surveillants de toilettes, pour avoir le dessus sur le patient. Elle fait n'importe quoi, elle et tous les autres.
Elle était plus de ce genre. Bien claire, bien grande, bien fine, ... de toute beauté.
Depuis quelques jours je me disais qu'elle devait être médiocre, j'ai envisagé qu'ils aillaient tenter Barbie, mais j'y croyais pas trop. Je l'ai eu au téléphone, elle avait une façon de parler assez vulgaire, le genre secrétaire en crise de nerfs.
Arrive le rendez-vous, je la vois, elle est là, debout face à moi, dans sa légère robe blanche à petits motifs noirs, grande, fine.
Elle me tend la main pour la serrer, moi je l'ai essuyé au maximum sur mon jean pour pas qu'elle soit trop moite. Et quand on se serre la main, elle la regarde attentivement avant de me tourner le dos et prendre la direction du couloir, jusqu'au bureau d'avant le psychiatre, le bureau ou me recevait l'infirmière, la première.
Elle s'assoit, je m'assois. Elle me parait plus petite assise que debout, plus fine, avec plein de détails compacts, genre de montre a méchanismes compliqués. Tant qu'elle affiche l'heure diront les débiles. Ben là elle affiche bien son esthétique de haut niveau.
Tout de suite je me suis fixé sur sa machoire. Le haut de la tête carré, la machoire plus fine, anguleuse. Elle est fine, on ne voit pas grand chose.
Elle a la main sur la bouche, regarde vers le bas, je ne sais quoi, et me demande de lui dire ce qui' m'amène.
J'ai parlé, parlé, parlé, sans arrêt de tout et n'importe quoi, de choses qui ne la concernent pas, et elle elle a écouté sans objecter grand chose.
Parfois, je l'observais et mon cerveau s'arrêtait, l'envie de parler s'en allait, j'aurais voulu rester silencieux, le regard dans le vide, mais je m'éfforçais de reprendre mes paroles incohérentes contre vents et marés. J'ai parlé logement, nervosité, voisinage, j'ai même dit que si on m'envoyait dans un quartier j'allais me suicider, mais elle s'en foutait. Elle se foutait un peu de tout ce que je lui disais de toutes façons, elle avait l'air vraiment pas concernée.
Ce qui m'a fait buggé le cerveau c'est que sa main sur sa bouche, elle l'utilisait pour se frotter le nez, ou j'en sais rien et moi en la regardant j'ai dit un mot qui contenait le son du mot "nez", "nécessaire" un truc comme ça. Elle a réagit et ça m'a déconcerté.
La seconde chose c'est qu'un moment elle, qui avait les jmabes croisées, prend le tissu de sa robe la lève, on entrevoit el haut de sa cuisse, et là je remarque que tout ce que je dit est un enchainement de "que".
Au moment de partir, je fais bien attention à ses mains, elle en a des comme AVR. Au début ça intrigue, mais très vite on s'y fait. C'est des mains intéressantes.
Elle s'est levée, elle faisait une demie tête de plus que moi, mais en imposait pas du tout, elle donnait l'impression d'être égale en "énergie vitale". Par comparaison TAB elle donne l'impression d'être plus imposante en "énegie vitale". Par énergie vitale je veux dire la capacité à agir sur tout et n'importe quoi. En fait, elle semblait pas puissante.
Donc face à elle ce que je ressentais c'était pas une excitation, ni une hydratation, mais une envie de la gifler. Je sais, c'est étrange. Quand on la regarde, on a envie de la gifler pour qu'elle arrêter d'être une Barbie. Et on veut pas laisser les autres le faire à notre place. On veut le faire soit-même, aller lui déplacer sa machoire de luxe pour qu'elle revient parmi les mortels.
Je pense pas qu'elle me brûlait, mais elle arrangeait rien à la brûlure initiale.
Je pense que je prends pas bien la mesure de la chance que j'ai eu d'avoir un rendez-vous de ce type avec un physique de ce type, bien qu'il ne se soit rien passé et que je n'ai fait que parler.
Parce que oui, de mon côté j'ai été pénible, je me suis retenu, j'ai parlé dans ma barbe, avec mes cheveux de toutes parts, mes habits de SDF et mes odeurs de terreau. Tandis qu'elle, elle complote avec des surveillants de toilettes, pour avoir le dessus sur le patient. Elle fait n'importe quoi, elle et tous les autres.
Non ! Elle ressemblait pas ça. Mais elle avait cette machoire, et ces oreilles décollées enfouies dans ses longs cheveux.
Elle était plus de ce genre. Bien claire, bien grande, bien fine, ... de toute beauté.
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