16/09/18 - Dracula, ça avance


Bah, aux premières pages lues je peux dire que j'aime bien. C'est intéressant. C'est original cet homme qui va en Transilvanie pour informer le Compte Dracula sur l'acquisition qu'il a fait d'un bien immobilier à Londres. J'aime bien ce côté travail, ce déplacement qui a une raison très utile. Déjà on est plus en mesure de suivre Jonathan Harker puisqu'on se dit qu'il est sérieux, il est pas perdu, c'est pas un touriste, c'est pas un illuminé comme le marin dans Frankenstein, non c'est vraiment le type qu'est là pour affaires.

Des phénomène paranormaux on en a pas vu beaucoup là où je suis rendu. Le dernier et plus important c'est un triplé de femmes richement vétues, machillées, rouge à lèvres, qui s'approchent de Jonathan et dont l'une essaye de sucer son sang.


Il y a le compte qui passe par une fenêtre et se déplace sur le mur du château comme un lézard.


Son manteau semblable à des ailles, ses doigts et ses orteilles qui s'agrippent au mur, c'est une image plus comique qu'horifique qui me vient lorsque j'essaye de visualiser la scène. Et puis ça me fait penser au negwe de l'actualité qui grimpe sur les balcons pour ramasser les enfants.


La femme est du genre sensuelle, elle ne saute pas à la gorge pour boire comme une truie le sang d'Harker.


Elle s'approche doucement, va vers le coup et on l'imagine, lègère, ne s'appuyant pas, enfonçant juste ses crocs par un pincement à l'aide de sa mandibule.

En principe quand j'aurai terminé Dracula, la presse l'aura lu, exploité, 20 fois et ne voudra plus en entendre parler. Mais en réalité la presse l'aura éxploité 100 fois sans comprendre, sans concentration, et comme un enfant discipé, elle y reviendre à l'infini pour toujours bacler ses références au texte. La presse essaye de doubler tout le monde, mais c'est une truie, elle baclera toujours et n'ira jamais vraiment dans le fond des choses.

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