11/09/18 - Feu, ça brûle

Le feu ça brûle, on est d'accord là-dessus ? Bon ! Et ben voilà une bonne chose de réglée ! Non parce que je sais plus sur quoi faire mes articles. Là j'ai eu une suite d'idées qui m'ont fait mttre en scène une ultra bonnasse devant un petit feu fumant, et elle elle explose.

J'ai pas l'impression de spoïler, on voit bien qu'elle éclate. Là, tout de suite, c'est tout ce que je me sentais capable de lui faire faire. Je sais bien que la vie c'est possible, je suis pas con, mais ces dernières années il en jamais été trop question donc j'ai perdu l'habitude.

Elle aurait pû faire quoi alors ? Elle aurait pû bouger le bras, bouger les seins (pour rester dans la perversion maladive), bouger les lèvres. Elle aurait pû venir, partir. Elle avait des milliers de choses à faire, mais c'est éxploser qu'elle fait ! Halalalala ! Bon ! Tanpis !

Elle est dans uen version plus intègre, là. Elle a la peau ferme, lisse, elle a l'air toute pleine de vie.

En fait, je l'ai récupérée de la pochette d'un album de black metal, et du coup, elle fait directement écho au dernier gif d'AVR avec des rochers et des vagues. Comme quoi ... on a vite fait le tour des possibles.

Ca c'est la version plus longue, moins aboutie, tout droit sortie de Blender. Nuls filtres, nuls retouches.

Le feu je l'ai fait en 3D, c'est pour ça qu'il est moche. Il faut 3 ou 4 heures de calcul pour avoir 160 images, que j'affiche après à 8 images seconde dans mon gif.

Non puis bon, le feu ça fait écho à ces feux réels que j'ai allumé ces dernières semaines. Je trouvais que ça le faisait pas mal de faire un pont entre réel et virtuel.

C'est juste la jolie dame que j'ai pas en vrai, donc c'est gratuit.

Je vois des femmes, mais soit elles ont un fil à suivre dans une rencontre balisée, soit je dois couvrir le silence qui nous sépare, et donc je n'arrive pas à prendre d'elles un peu de réalité pour m'en inspirer dans un article. Vous savez, vous regardez une personne faire, vous observez deux ou trois curieuses manières, tocs, ou tournures de phrases, et ça suffit pour y repenser longtemps après.

Pour parler des animations, me lancer dans ça sans savoir où ça mène, en me disant que ça n'aura aucune valeur pour ce qui est des compétences ou de l'éxperience, ça me plait assez. Là, en l'occurence, je fais le genre de choses qu'auraient faits les artistes qu'auraient bossés sur un gros projet multimedia il y a 20 ans ou 30 ans de ça. C'est ce qui m'intéresse, de me dire que je pourrais tout à fait pu être employé dans une entreprise d'il y a 20 ou 30 ans, à l'époque où le multimedia était bien.



Le début, c'est ça qu'il devait y avoir dans le générique de Kaamelott je pense. C'est l'atmosphère Fort boyard, Age of empire, on est sensé être au sommet de ce que le genre humain fait par intelligence et concentration sur des projets qui ne font pas vivre son homme. Ca m'évoque la folie des alphas.