21/04/18 - G pas internet




Dur de rédiger des articles, j'ai pas internet.

Je dois continuer ce blog, sans ça, ça va être long et interminable d'attendre le moment qui convient pour faire ce que je veux faire.

On dit qu'il faut tuer le père ? Je pense qu'il faut se donner la vie plutôt. C'est débile de voler les ressources des autres. Faut être un attardé pour compter sur les autres pour vivre.

Si ce que l'on prend est public, ça va. Si c'est privé c'est qu'on a un retard mental relatif, nourrit par l'envie et la jalousie, qui mène a la bêtise. On devient violent, toutes nos qalités sont éxterieures, aucune n'est intérieure. On pille le produit d'autres en volant des méthodes, sans parcourir le chemin dont le marcheur conçoit la méthode.

En fin de compte, celui qui vit avec sérénité vole tout ce qu'il pocède. C'est un fourbe qui pense avoir le droit de vivre bien. Il pense de son point de vue, pas du point de vue des qualités qu'il pourrait développer en lui. Développement personnel zéro. L'humain vierge, dans son état natif. Aucune évolution. Aucun travail sur soit. Il compte sur le monde pour s'augmenter, par infirmité.

Comment faire vivre côte à côte attardés exterieurs à eux même, et gens évolués interieurs à eux mêmes ? Voleurs et volés ? ce qui cherchebt de quoi vivre dans le public et ceux qui cherchent dans le privé ?

Comment divertir un attardé sans qu'il représente un danger pour les autres en cherchant une tétine, un salaire, une bite, quelque chose à sucer pour s'alimenter, par incapacité à se débrouiller ?

Doit-on les alimenter toute la vie ? A t-on lien de parenté ? A t-on des obligations ? Ne peuvent-ils se débrouiller seuls dans la vie ? Est-ce que ce ne serait pas de la mauvaise fois ? Ne seraient-ils pas partisants du moindre effort ? Adeptes de la facilité ? Des branles rien ? Redevables de tout à tout le monde ?

Je pense qu'il faudrait tenir des carnets de suivi des comportements des uns et des autres dans la société. Il y en a qui reclament trop.


Pour m'occuper je pensais reprendre le dessin, mais j'ai des décharges electriques dans le corps quand je dessine. Ca me le faisait avant aussi, sauf que je savais pas pourquoi ça le faisait. Je mettais ça sur le compte de la difficulté de la tâche. Je m'enorgueuillais de supporter les tremblements pendant mon travail.

C'est toujours le cas, mais puisque le contexte est pollué, je n'y prends plus autant de plaisir. En fait, ça ne me rend que mélancolique et passif, en lieu et place où la mélancolie avait la saveur subtile d'un plaisir solitaire.

En fait, plus aucune émotion n'est plaisante quand elle est partagée.  La vie est sans saveur. C'est la possibilité d'enculer le monde concrètement ou symboliquement qui rend joyeux.

Quand le monde coupe la queue du lézard a chaque repousse, il lui manque des sens. Il doit recommencer toujours les efforts sans la satisfaction du travail d'enculage accompli. Toujours l'effort, jamais le réconfort.

C'est de là que vient l'absence de joie. De l'absence de satisfaction en l'objet.



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