21/04/18 - Vivement le retour du froid

C'est que j'aime po ben ça moi la chaleur. On doit s'étaler, comme un chat sur le sol, en atttendant que la température baisse enfin. Même le soir, très tard, quand la nuit tombe enfin, il fait encore trop chaud. Des bulles d'air chaude stagnent. Dans le noir on reçoit des courrant d'air tiède. L'air est trempée de toute l'humidité de l'hiver. C'est irrespirable.

La ville ça sèche vite, la campagne moins vite. Et il y a des vieux bourgs qui sèchent jamais, quelque soit la quantité de soleil et le niveau des températures.

J'ai horreur de la chaleur.

Savoir que des particules humides d'égouts vont me trainer dans les poumons ... ça me dégoutte.
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Anne Dufourmentelle. Je crois que c'est l'image de la prostituée ? Ou du prostitué ?

Moi, il faut que les choses soient claires, je n'accepte personne dans mon derche. Qu'il y ait tout le monde qui se mobilise pour l'occuper c'est une chose, mais que moi je le donne à l'usage des uns et des autres s'en est une autre.

Le voisin par exemple, le taré congénital, si je l'agresse j'ai tout à perdre. Moi j'ai pas de réseau. Lui il fait son foufou toute la journée, tape dans les murs, fait du bruit, etc. mais son réseau valide son comportement. En cas de problème il a le soutient de tous les gens qui lui disent : "vas y, encule ton voisin, te gènes pas, on est avec toi". Moi, si je l'agresse, j'ai personne. J'ai tort quoi qu'il arrive.

Je sais pourquoi il fait ça. C'est pour m'obliger à me positionner par rapport à son harcèlement. Il mobilise son réseau pour m'obliger soit à perdre et go HP, ou une autre structure pour loosers, soit à joindre un groupe qui lui tiendra le crachoir, mais surtout arrêter la solitude pour sortir de la catégorie loup solitaire.

Je sais pas pourquoi, mais dans la société on a horreur des loups solitaires.

En quoi ça pose problème ces gens là ? Ils ont des tendances psychologiques dérangeantes ? On a une moins bonne prise sur leur comportement ? C'est quoi le problème ?

Que je sois un loup solitaire, ou looser, en quoi c'est un problème ? J'ai un profil agressif ? Je susi voyant ? Bruyant ? Admettons que je ronfle la nuit sans m'en rendre compte, le voisin c'est pire.

Mon immeuble c'est un foyer de réinsertion social camouflé ou quoi ? Les sont des serrures, les coups dans les murs, les bruits, on se croirait en taule. je suis désolé mais si on éxplique jamais à la personne pourquoi on lui fait subir un traitement inhumain, comment voulez-vous que la société s'améliore ? Pour qui il bosse le voisin ? C'est qui les gens qui sont avec lui et qui valident son comportement ? Si je me mets à frapper dans les murs comme lui, à tousser, me moucher,  siffler, hurler, c'est avec qui que j'aurais des problèmes ? C'est qui qui va le premier venir me rencontrer pour me mettre un truc dans le fion ?

A vrai dire j'en ai rien à foutre. Moi des réseaux sociaux j'en veux sous aucun prétexte, j'ai déjà donné plein de fois, avec plusieurs, ça n'a jamais mené à quoi que ce soit de bon. La solitude, c'est triste parfois, mais au moins on peut s'aimer en paix.

Si le voisin veut que je dégage, il doit savoir qu'on est deux. Je rêvais de me barrer de ce studio depuis le premier jour où je l'ai vu. Un truc bruyant comme ça c'est inhabitable, par personne. Et quand le voisinage vous fait des compte rendu de votre propre vie, en plus des médias, ben ça ajoute rien au plaisir de vivre. C'est un enfer ce studio de toutes façons, même sans voisins, même sans personne dans tout l'immeuble. Il a été conçut pour rendre fou depuis l'origine. Normalement on est hystérique au bout de quelques jours d'habitation, c'est prévu pour. On veut des locataires frustrés, hystériques, fous.

Studio, appartement, maison, les noms sont choisi pour de bonne sraisons. Studio t'es une folle hystérique frustrée. Appartement, t'es bon pour les partouzes en entreprises, autour d'une table, au pieux, et partout ailleurs. En maison, t'es détendu, bien, à l'aise, enfin chez toi.

Moi je suis au studio --, c'est à dire le studio avec option voisin hystérique. C'est le pire dans le catalogue. Plus on y reste, plus notre santé décline. On peut y rester si on tarde trop. Parce que plus la force de gravir les échelons de l'habitation franc maçonne.

Il parait qu'au grade de studio on est violé et surveillé par vidéo, son, personnel attitré, et on a le droit à des informations dans la presse relative à ce viol. Moi je confirme dans mon cas, en effet, j'ai le droit au viol. La sexualité, par exemple, est gérée par l'Etat, et la presse, et toutes les institutions, qui sont là à surveiller qui tu fourres, comment tu fourres, quand tu fourres, etc. Pour ce qui est du mode de vie, du mode de communication, etc, même chose. Je trouve que c'est éxcessif, d'autant plus si ça loupe.

Moi je vois tout ce que je supporte de vos loupés, je me dis que vous êtes une bande de sait rien faire. Vous êtes pas fichus de me proposer autre chose que le suicide. Est-ce que c'est sérieux ? Vous vous remettez en question des fois ?

Est-ce que ma survie, dans un état de souffrance moindre, est prévue à la base ? Comme borne à vos éxpérimentations ratées obligatoires. Combien de rendez-vous ? Combien de formations ? Combien d'agressions ? Combien de viols ? Et tout ça pour quoi ? Pour rien. Allez pas croire que je vous nargue vous tous, que j'esaye de vous pousser à bout par fourberie. Il y a aucune volonté d'être de mauvaise fois, dès le début. J'aimerais beaucoup tuer le père comme vous le voulez tous. Tuer des gens, agresser, frapper, hurler, faire mon rebel, voler, violenter des relations, etc. Sauf que non. La flème. Le social c'est même pas la peine.

Les épluchures de mandarines, les trucs compromettants, dès lors que c'est tourné en blagues, tout ça, ça ne m'intéresse pas du tout. En tout cas, moi ça change rien à ma vie. Si c'est un truc pour pousser à réagir, comme le font les profs de sport, c'est débile parce que je fonctionne pas dans ce sens. Pour avancer je dois pas me faire enculer, j'ai besoin d'un orifice à enculer. Si vous voulez que j'aille quelque part, mettez moi un pure orifice juvénile là où je dois me rendre, aisance financière, pas de témoins, ... ça va donner, je serai le meilleur. Premier rendu, bras croisés, posé, détendu.
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Vous savez, j'ai aucun cerveau disponible. C'est inutile de chercher à me faire comprendre des choses. Par exemple mes rendez-vous avec le plie, je comprends pas à quoi ça sert, ce qu'on veut m'y faire faire, pourquoi il est question de choses subliminales, etc. Et je n'ai aucun courage pour chercher à comprendre, ni pour faire un effort pour comprendre. D'ailleurs, l'emploi, le travail, tout ça, je sais même plus ce que ça veut dire et ce que je peux bien avoir à faire avec ça. Puisque je n'ai plus de projets de vie, plus aucun, j'arrive pas à comprendre comment je peux travailler et quelle raisons je peux donner à ce travail.

Ma vie n'a plus de sens depuis un bout de temps. Est-ce qu'on peut parler d'hystérie ? Je sais pas. Je crois pas. Je vois juste pas pourquoi je dois vivre déjà, ensuite je vois pas pourquoi je dois fréquenter des gens, enfin je vois pas pourquoi je dois travailler. Je vois même pas pourquoi je dois me loger déjà.

J'arrive pas à comprendre pourquoi demain je dois me réveiller de mon sommeil. Entre nous, à quoi ça sert que je me réveille demain ? Je pourrais tout aussi bien dormir. Suffirait que je prenne mon sédatif, et hop là, disparition. Ca empêchera pas le voisin d'être fou hystérique à la recherche d'un orifice, frappant comme sur un tamtam sur les murs, toussant toutes ses glaires de cigarette. Et moi ça n'enlèvera rien au sens de ma journée.
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Et puis entre nous, je me vois mal habiter ou fréquenter une bonne femme. Je chialais avec des histoires de femmes/enfants il y a quelques années, mais c'était par ce que j'avais besoin d'un horizon pour voir l'immobilisme dans lequel on me forçait à être. Aujourd'hui tout à changé, puisque les règles du football sont pipés, j'ai plus d'objectifs de ce type. J'ai pas l'intention de fréquenter des bonnes femmes qui seront des pièges, des ralentisseurs, qui t'enlisent dans le présent et t'obligent à y stagner.

Admettons que je veux une maison, une bonne femme en a une, très bien. Mais alors moi, je fais quoi dans cette maison ? Bah rien, elle est là à vouloir que ça aille pas trop vite, que ça change pas trop, que ça reste à sa place, que tout soit comme elle veut quand elle veut. Non, mais, c'est inconcevable. Quitter une taule pour aller dans une autre ? C'est ça qu'on me propose ? Si je veux me divertir, lire, regarder des films, rester enfermé, ou sortir a un endroit spécifique, l'autre elle va pas être d'accord. Vous voyez un peu l'enfer ? Non non. Ho ! Le voisin il fera jamais carrière dans le tamtam, mais il m'a l'air à peu de choses prêt peu différent d'une bonne femme qu'est sur ton dos et qui fait carrière dans le veuvage ou le cocufiage.

Je la vois d'ici la réputation, genre des histoires de femme battue, ou violées, ou volées, ou agressées d'autres manières. Tout ça parce que je me serais lié à une areignée, qu'aura tissé la toile de son réseau social autour du solitaire que je suis.

Le voisin je pense que c'est un toutou à ces dames. Il est tout serviable pour avoir des susucres. Je pense que ses agressions de nature hystériques, elles sont commandées par des vagina. L'hystérie, à la base c'est un truc féminin, si on remonte aux origines des causes elles seront là.

Elles m'intéressent pas, que ce soit clair. D'ailleurs, les bons hommes non plus ne m'intéressent pas. Je m'aime. Je connais pas meilleur que moi dans n'importe quel domaine. J'ai un don pour rendre tout dormidable, tout le temps. Je crois que je pourrais pas me passer de moi. Je suis autosexuel et fier de l'être. A vrai dire j'aime les femmes que comme poupées, décorations esthétiques, machines à pondre des gosses. C'est vrai que la jolie poupée bien dressée qui décort la maison c'est beau, c'est émouvant, ne serait ce que pour ravir les yeux. On est émerveillé. Mais vivre avec un être vivant humain normal sous le même toit, je sais pas si je suis prêt. Moi je dirais que non.

Elle a des cils ! OMG !