04/04/18 - Viol, menaces, insultes, harcèlement

Il n'y a pas et il n'y aura pas de cachotteries, manigances, secrets ou quoi que ce soit. Jamais. Toute tentative de secret, non publique, se soldera par un NON définitif, une passivité et une angoisse.

Je tiens à signaler que je suis islamophobe, c'est à dire que j'ai peur de l'islam et des gens de type maghrébins. C'est tout a fait irrationnel, mais leur vue me stresse.

Après 3 ans et demie de harcèlement, je suis devenu fragile, et pour dire la vérité je ne fais pas confiance en la capacité d'une femme à prendre de bonnes décisions me concernant. Tout ce que j'ai de bon je ne le dois qu'à moi-même.

Ce qui fait de moi un fataliste suicidaire, en vérité, c'est l'avocate qui s'est foutu de ma gueule. Encore les médecins, je me dis qu'ils sont pas tenus de considérer la justice, ce qui compte c'est l'état dans lequel on leur demande de mettre telle ou telle catégorie de gens. Mais après ma visite chez l'avocate je me suis dit qu'on pouvait compter sur personne, que c'était foutu.

Si la justice se fout de la justice, je vois même pas l'intérêt d'entrer sur le terrain des agresseurs, j'ai plus qu'à faire ce que je veux, comme je veux, quand je veux en faisant abstraction de tout ce qui ne dépend pas de moi et par rapport auquel je ne peux rien.

Après être passé dans son "bureau", j'ai eu l'impression qu'on me prenait pas pour un être humain, que j'étais un sous être, un peu comme un nuisible, une sorte d'animal sauvage qu'il faudrait tuer ou pousser à fuir hors des zones habitables.

Aucun respect.

J'ai rien dit mais ça m'a traumatisé. Je me disais qu'elle aurait au moins fait l'effort de me dire que la loi permettait pas de traiter des cas de menaces de mort et de harcèlement, mais elle a pas fait ça, elle s'est foutu de ma gueule.

La justice, depuis, j'y crois plus du tout. Depuis, je pense que le suicide c'est la seule vraie façon de se rendre justice en fin de compte. C'est la seule réparation pour le mal qu'on a le droit de s'accorder.

Je crois que c'est à cause d'elle que j'ai plus envie de faire d'efforts dans la vie. Je pensais pas qu'à ce niveau là on renconterait des orgueils méprisants. Je me disais que j'avais toujours été le gentil garçon qui fait de mal à personne, que ça allait bien finir par jouer dans la balance le jour ou quelqu'un me causerait des ennuies, et en fin de compte non, ça n'a pas été prit en considération. J'aurais tué, violé, pillé, torturé en secret, mon rendez-vous avec elle aurait été identique.

Ca sert à rien de respecter la loi d'une part et ça sert à rien de respecter les gens ensuite. La société est puante. Dans ces conditions, moi je baisse les bras, j'ai plus envie de faire d'efforts dans rien du tout. Je dessine, je fais de la musique, j'écris, mais comptez pas sur moi pour faire autre chose, mon cerveau arrive pas.

Je vois déjà venir la baffe qu'on va me mettre et qui pourra jamais être punit. Moi j'en veux pas de vos coups, j'ai déjà assez supporté tout le mal du monde. Il y a une fatigue qu'est là, une absence de volonté généralisé, j'ai plus de projets d'avenirs et je me sens pas capable d'en avoir de toutes façons.

Silmarillion. Allons au plus simple. Résumons sans entrer dans le détail.

Chapitre 15

Une rumeur cours dans Beleriand, que les Noldor ne seraient pas arrivés pour aider les Sindar, envoyés par les Valar. Cirdan apprend la nouvelle, il s'inquiète et envoie un messager chez Thingol. Thingol est en pleine réception, avec les branches princières Noldor les plus proches de son sang.

A la réception du message, Thingol s'éxplique avec les Noldor, qui lui avouent avoir été entrainé hors de Valinor, mais qu'ils ne faisaient pas partie des troupes de Fëanor.

La malédiction sur les Noldor, la colère des Valar, s'en est trop, Thingol les congénies et interdit qu'on parle la langue Noldor sur son royaume.

Chapitre 16

Aredhel, la soeur de Turgon, veut quitter Gondolin, elle demande la permission de rejoindre Nevrast, ce qui lui est accordé. Elle part avec une escorte, mais lorsqu'elle traverse les ombres produites par Ungolian, elle se perd. Son escorte rentre à Gondolin sans elle.

Aredhel rencontre Eöl, un elfe de la nuit qui vit seul, fréquente les nains et commerce avec eux. Il en fait sa compagne et ils ont un enfant : Maeglin.

Maeglin prend de l'âge, sa mère et lui décident de retourner à Gondolin sans l'autorisaiton d'Eöl qui les poursuit.

Là-bas, Maeglin est accueillit comme un membre de la famille. Eöl tue Aredhel et il est tué par un jugement relatif à ses actes.

Maeglin désir Idril aux reflets d'or, mais elle ne le désir pas. On dit qu'à Gondolin se trouve une semance maudite, celle de Maeglin.

Commentaire AVR

Dites AVR, je pourrai pas compter sur vous pour matérialiser le harcèlement ? Vous voulez pas du tout jouer ce rôle ? J'en aurais besoin moi. On pourrait se voir et vous seriez une harceleuse incarnée, et vous deviendriez le visage du harcèlement. Je me dis que ça pourrait provoquer une sorte de déclic ou un truc du genre, non ? Peut-être que ça me permetterait de ranger dans une case décembre 2014 au lieu de le laisser se propager dans tout, et inclure tout. Peut-être que vous pourriez jouer le rôle d'un fétiche qui regrouperait le traumatisme dans une personne, non ?

Vous en pensez quoi ? Il y a sûrement déjà eu des rencontres entre survivants d'une tentative de meurtre et criminels, et ça a sûrement engendré quelque chose au niveau psychique.

Je précise, je ne vous accuse pas d'avoir essayé de me tuer, mais d'être complice d'une tentative de meurtre à mon encontre en y jouant un rôle actif de réflexion lorsque cette réflexion nourrisait volontairement une paranoïa. Ce qui par conséquent aurait pu mener au suicide, vous le saviez, mais ça ne vous a pas empêché de continuer.

Pour revenir à la rencontre. J'ignore si j'ai raison, mais ce serait bien, je crois, si je rencontrais une personne physique qui me dirait : "j'en étais". Je peux pas dire à l'avance si ça serait positif, mais au moins ça mériterait d'être essayé.

Vous savez, je vous pardonne pas et je vous pardonnerai jamais à vous comme aux autres. Mais ça veut pas dire que je vous veux du mal pour autant ou que j'ai envie de me montrer agressif. Je mets ça sur le dos du "pfffffffffff qu'est-ce que j'y peux ...". J'essaye plus de comprendre pourquoi les gens font ce qu'ils font, j'ai plus de mots et j'ai l'impression que passé un stade de violence collective, il y a plus rien à comprendre à rien. J'aurais envie de lever les épaules, de pousser un souffle de dépit et puis de passer à autre chose.

 Sauf que j'arrive pas à passer à autre chose, en ce moment j'ai des souvenirs qui reviennent. Entre autre je repense au pêcheur de la formation, au trio qu'il y avait avec lui pendant la formation ADR, et je sais toujours pas pourquoi ils étaient là et à quoi ils servaient.

J'aurais besoin de quelqu'un qui me dise toute la vérité et à qui je dirai toute la vérité, mais pas quelqu'un de ma famillle, parce que eux c'est des tarés congénitaux. Sont pas fichus de me respecter entant que personne humaine douée d'intelligence. Ils se font tellement chier qu'ils essayent de vivre ma vie à ma place. Même la soeur est ravagée, elle est dans la compétition et la surenchère. Je sens que quand les parents auront passés je risque d'avoir du mal à entretenir une relation avec elle, elle va mal tourner. Son orgueil d'enfance forme un couple avec son statut d'adulte et ça s'annonce pas bon pour l'avenir. Je prédis qu'elle va cumuler, violer, et être toujours plus comploteuse. Et je sens qu'on va devoir fatalement rompre les liens pour de bons comme on le voit souvent dans les familles, mais c'est pas le sujet.

Moi, tout de suite, il me faudrait une personne du dehors, sensée n'avoir aucun intérêt apparent dans cette histoire.

Heu, vous savez, je vous aime sincèrement, mais des fois je me demande bien en quoi c'est logique dans le contexte. Peut-être que c'est le meilleur que j'arrive à tirer de cette incompréhension généralisée pour l'instant ? 😘