17/04/18 - Comédie ? Tragédie ?

Il y a quelques semaines, ou mois, on entendait des mots du genre : "comédie ou tragédie". Parce qu'on voudrait ranger mon histoire, je crois, dans une catégorie, dans un genre littéraire.

Je suis désolé mais ma vie n'est pas un genre littéraire, c'est ce que j'essaye de faire comprendre aux harceleurs depuis des lustres, depuis 2014 à vrai dire.

Ceux qui complotent pour rire, ou pour faire pleurer, ils m'usent.

Le cocufiage, les menaces de mort, le harcèlement, les humiliations, etc, tout ce cumule pour une raison. Dans la presse et dans le spectacle, j'imagine que cette raison est littéraire, ou sportive, c'est un genre d'histoires avec des stéréotypes de parcours avec des points de départs et des points d'arrivé.

Le sport c'est du théatre avec des rôles simples, seul la vitesse des changements crée l'intérêt.

Dans le théatre écrit, ou le cinéma, ce sont des histoires un peu plus complexes, moins scientifiques, mais toujours comprises en un certain nombre de minutes, d'actes, de scènes, de plans, etc, pour atteindre la fin.

Dans mon cas, ce qui m'énervait, entre autres, c'était de savoir qu'il éxistait des raisons, non valables, au mal qu'on me faisait. Je savais que j'avasi raison de ne pas donner de crédit aux raisons qui justifiaient ce qui m'arrivaient, sans arriver à empêcher d'advenir l'injustifiable.

C'est ça la bêtise ! C'est le sénario, ou les règles du jeu, qui les amènent tous à déferler comme des attardés pour tout anéantir et voler.

La castration dans RAN le film, elle vient pas de la violence, mais du fait de savoir que les raisons de cette violence sont débiles. On est en train de se dire "mais bordel ! Pourquoi ?!".

On pense à des conceptes qu'auraient été tellement utiles ! le respect, la tolérance, la préservation de la diversité, la diplomatie, la réflexion, la patience, la mesure, la justice, la propriété, etc.

Au lieu de tous ces conceptes formidables, une cascade nourrit une mer de violence qui s'étend dans un lieu inoffensif, au nom du spectacle. Il y a des victimes, et les bourreaux débattent pour savoir quelle raison justifiait la violence. Comédie ? Tragédie ?