18/04/18 - J'ai fait un rêve


J'ai fait un rêve ...


J'ai rêvé que je marchais avec un type d'Amien que nous nommerons X. On marchait sur un trottoire, dans une rue de taille moyenne, ensoleillée. Les constructions étaient d'un style que je dirais « bourg ancien », de deux, ou trois, ou quatres étages. Les murs sont faits de pierre, les fenêtres et portes ont des cadres sophistiqués, les toits sont en ardoises percés par des fenêtres verticales.

On marche, il fait frais, ni soif, ni faim, ni stresse, je suis détendu, à l'aise, on dirait une journée d'été en campagne lorsque tout est parfait et l'avenir est tout tracé. On est bien.

En marchant le long de cette rue, on arrive à une interruction de la rue par un pont. Les maisons s'arrête devant le pont, et reprennent après le pont. C'est un pont en grosses pierres lourdes et dures, grises, taillées en formes brutes, on se dit que ça doit peser des centaines voir des milliers de tonnes ce genre de constructions. C'est une vieille architecture, mais on image que ça remonte à un ou deux siècles maximum.

A l'entrée du pont, sur le droite, il y avait une sortie qui menaient à des marches étroites faite de cette pierre grise, qui desendaient en pente raide sur un quai en contre bas, en pierres pavées, sur le côté du pont et sous le pont. De chaque côté de la rivière, des bâtiments qui enfermaient le lieu mais laissaient venir la lumière éblouissante du soleil.

Des gens étaient sur le quai, sur des nappes, des serviettes, ça parlait fort. Je descend avec X sur ce quai, on croise des gens dans l'escalier qui remontaient, et moi je portais dans ma main un bâteau gonflable jaune à moitié dégonflé. Quand on est arrivé au bord de la rivière, j'ai gonflé le bâteau, je l'ai posé sur l'eau, on est monté dedans et on a commencé à ramer avec des rames venu de je ne sais pas où.

On suis tle cours de l'eau, on sort de la ville, de chaque côté, il n'y a que de l'herbe, des champs, des insectes, des oiseaux, on a la peau qui brûle par le soleil. Et puis on arrive le long d'un ponton en bois diposé le long de la rive. On s'arrête. On descend, je reprend le baeau qui se défongle tout suel dans mes mains.

Juste côlé au ponton, il y avait une baie vitrée, de métal et de verre, avec des vitres carrés, réctangulaires verticales, on s'arrête. X me dit que c'est le château de je ne sais plus quoi. Je regarde à l'intérieur depuis une vitre, mais il fait noir àl'intérieur et le soleil fait refléter l'éxtérieur si fort qu'on y voit rien. Je me colle, mets ma main autour de mes yeux pour ne pas avoir de lumière entre moi et la vitre, et j'arrive à voir un parterre vide, un escalier sur la gauche, et un étage au fond, qui couvre la moitié de la surface de la pièce.

Pendant que je regarde, je vois X qui est dedans, il me dit d'entrer. Je remarque qu'il y a une vitre ouverte, avec une charnière au milieu, qu'on peut basculer dedans en bas, dehors en haut et inversement. Je pose le bâteau, je rentre par la fenêtre avec difficulté. A l'intérieur tout est couvert d'une épaisse poussière blanche. On souffle, on essuie des choses, on essaye de voir et de comprendre ce que c'est que ce lieu, et puis plus rien.

On rentre à pied en suivant un chemin. On retourne le long de la rue première, on redescend vers le quai, et cette fois c'est X qui est dans le bâteau gonflable et qui me dit de venir. Je me dis que ça doit être difficile d'entrer en second. J'y arrive, ça tangue, et on repart pour un tour jusqu'au « château ».

On refait 2 ou 3 tours, les gens semblent indifférents à notre présence, tout a l'air parfait.

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