14/06/17 - Twitter c'est fini !
Twitter j'y suis que pour Adèle Van Reeth en vrai. Sauf que vu que je m'ennuie dessus, bah j'ai décidé de causer tout seul en m'inspirant des recommandations twitter d'informations produites par rapport à mes faits et gestes. En gros, l'IA met en relation moi et une information faite autour de moi.
Donc, le jeu de réponses lancées comme des bouteilles à la mer ça m'occupait, un peu comme un entrainement à rédiger, moi qui n'ai jamais rien eu à rédiger de sérieux dans la vie.
Et puis, L'échange avec Adèle, après avoir très rapidement atteint son climax, s'est ralentit pour revenir à un niveau minimum, un niveau de presque non échange. Je me suis retrouvé un peu rémis sur mon twitter, je me suis mangé plusieurs burnout, et pour finir, là, je me dis qu'il vaudrait mieux penser à arrêter twitter.
Vu que j'ai voulu arrêter twitter, j'ai eu le droit à un tweet avec une photo de femme blanche qui "mesure" son chat noir. J'ai aussi eu le droit à un compte avec la photo d'un noir qui dit "bb" à Adèle Van Reeth. Ces tweets qui plus tôt m'auraient mis hors de moi, ne me font en définitif ni chaud ni froid. J'ai réussis à battre twitter. J'ai compris sa façon de faire. Quand on veut le quitter, twitter vise là ou ça fait mal et il frappe brutalement.
Ce procédé je le comprends que depuis décembre 2014. On provoque un choque émotionnel, qui focalise l'attention et on sature l'attention d'informations qui suivent le cycle : mission -> castration -> consolation.
Bah voilà, je vais quitter twitter sans grand regret, ça va quand-même laisser un vide absolument colossal dans ma vie. J'y ai passé plus de 12 heures par jour pendant 5 mois. Ce fut une période dont je ne retiens pas grand chose à part que j'y ai éprouvé les méthodes d'imposition de l'information et touché les limites de ces méthodes.
Si je viens d'être frappé à coups de "castration" c'est que twitter sait que je vais le quitter. Twitter réagit. Twitter m'a rattrapé tant de fois, il ne m'aura pas une fois de plus.
On se reverra twitter, mais je te parlerai sans t'écouter. Ta grosse IA toute puissante n'y changera rien.
Donc, le jeu de réponses lancées comme des bouteilles à la mer ça m'occupait, un peu comme un entrainement à rédiger, moi qui n'ai jamais rien eu à rédiger de sérieux dans la vie.
Et puis, L'échange avec Adèle, après avoir très rapidement atteint son climax, s'est ralentit pour revenir à un niveau minimum, un niveau de presque non échange. Je me suis retrouvé un peu rémis sur mon twitter, je me suis mangé plusieurs burnout, et pour finir, là, je me dis qu'il vaudrait mieux penser à arrêter twitter.
Vu que j'ai voulu arrêter twitter, j'ai eu le droit à un tweet avec une photo de femme blanche qui "mesure" son chat noir. J'ai aussi eu le droit à un compte avec la photo d'un noir qui dit "bb" à Adèle Van Reeth. Ces tweets qui plus tôt m'auraient mis hors de moi, ne me font en définitif ni chaud ni froid. J'ai réussis à battre twitter. J'ai compris sa façon de faire. Quand on veut le quitter, twitter vise là ou ça fait mal et il frappe brutalement.
Ce procédé je le comprends que depuis décembre 2014. On provoque un choque émotionnel, qui focalise l'attention et on sature l'attention d'informations qui suivent le cycle : mission -> castration -> consolation.
Bah voilà, je vais quitter twitter sans grand regret, ça va quand-même laisser un vide absolument colossal dans ma vie. J'y ai passé plus de 12 heures par jour pendant 5 mois. Ce fut une période dont je ne retiens pas grand chose à part que j'y ai éprouvé les méthodes d'imposition de l'information et touché les limites de ces méthodes.
Si je viens d'être frappé à coups de "castration" c'est que twitter sait que je vais le quitter. Twitter réagit. Twitter m'a rattrapé tant de fois, il ne m'aura pas une fois de plus.
On se reverra twitter, mais je te parlerai sans t'écouter. Ta grosse IA toute puissante n'y changera rien.
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