05/06/17 - Menaces de mort castratrices

En fait, j'ai compris. Les centaines de milliers de menaces de mort que j'ai reçu de la presse, police, gendarmerie et de l'armée sont des méthodes de castration. Ça permet de limiter la puissance d'un sujet afin de l'obliger à ne plus rien faire.

AVR on l'a traité de pute, on a dit qu'elle avait tourné dans une partouze, qu'elle avait été payé par un footballleur foncé pour faire des choses, etc.

On a donc utilisé AVR, avec son concentement je pense, pour me pousser au suicide.

Comme si ça suffisait pas, avant, j'ai eu le droit à un nombre mirobolant d'insultes, de moqueries et de consolations infantilisantes.

AVR m'a elle-même, d'ailleurs, invité à me suicider, plusieurs fois. Je trouve pas ça très gentil, m'enfin bon ...
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Je pense que cette castration est un moyen utilisé pour contraindre un Homme puissant à ne plus l'être. Évitant, par conséquent je ne sais trop quoi.

Dans le cas de Heaulme, par exemple, il y avait puissance et incapacité à pratiquer techniquement​ la chose. Il aurait donc été nécessaire de le castrer. Celà aurait peut-être évité ses meurtres, mais n'aurait jamais rendu sa vie plus facile.
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Dans mon cas, on a voulu empêcher une hypothétique puissance en faisant tout pour me faire passer pour un schizophrène.

Car, les neuroleptiques ont la capacité à foutre en l'air la libido, le sperme, ainsi que l'aspect extérieur du corps. Les neuroleptiques​ rendent laid, idiot et impuissants (c'est extrêmement cruel).
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On a aussi essayé une voie alternative, en me dirigeant vers la pédérastie. On s'est dit que c'était une bonne façon de faire.

Malheureusement, je ne suis pas pédéraste.
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Tout ça pour quoi, au final ? Ben pour se rendre compte que je suis, en vérité, impuissant, déjà castré, et autiste.

J'ai donc été victime d'une violence inimaginable, pour rien. J'ai juste été la cible de la pire affaire de l'Histoire de l'humanité, je dirais même de l'univers.
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Mon million de dommages et intérêts, je l'ai clairement pas volé.

AVR, c'est extrêmement méchant ce que vous avez fait, mais je vous pardonne. Signé, votre fidèle castré.