30/07/18 - Bien


"Je suis très bien ..." voilà la phrase qui m'est resté dans la tête. Ca fait des semaines que je cherche à comprendre pourquoi on utilise le mot bien. Est-ce que le célibataire utilisé par un couple cruel et impitoyable est bien ? Est-ce que le couple qui est à côté d'un célibataire est bien ?

Il y a en tout cas, ce shéma du triptyque : le membre mâle du couple, le membre femelle du couple et l'autre exclu.


AVR dit qu'elle est "très bien", se considère elle comme une idiote à couples ou comme la femme d'un couple face aux idiots ?

La presse dit qu'elle a des histoires, qu'elle va sur la plage, qu'elle fait des tonnes de choses. Ca ne m'étonne pas, tout le monde, même les moins riches, font ça. La vraie vie, c'est avoir des reltions sociale normale, avec des gens qu'on a rencontré dans des conditions normales, et avoir des activités normales avec ces gens. En ça, le voisin n'est pas normal du tout.

La voisine, elle, doit être mentalement "spéciale" pour participer au fait d'accélérer ma fin et de ralentir ma vie. J'ose pas m'imaginer comment elle pense, mais elle doit être stressante, comme le voisin. Elle doit avoir le gout de al souffrance de ses victimes, et cherche en l'autre un moyen d'accroitre ce gout. C'est à dire qu'ils ne sont, à mon avis, pas capables de prendre du plaisir à deux. Ils ont besoin d'un tiers.

Je suis ce tiers !


Les deux, là, je les rangerais dans la catégorie des plus que borderlines.

Ils ont du monde qui valide leurs actes, donc ils iront pas en prison, mais malgré tout c'est ce genre de personnes qu'on peut mettre en prison. Ils ont des plaisirs qui se basent sur la frustration et la souffrance des exculs, et je dirais que celui qui veut s'inclure peut craindre que leurs perversions continuent dans le cadre privé. C'est de la perversion.

Prendre du plaisir dans la souffrance d'autruit, à vrai dire, de mon point de vue, je dirais que c'est un problème sexuel qu'est nuisible à l'espace public. C'est une impuissance à agir sur soi, c'est une forme de fragilité. Si je suis "bien" c'est sûrement parce qu'ils sont incompétents pour ce qui est de se connaitre l'un l'autre. D'ailleurs s'ils habitent pas ensemble ce doit être pour une bonen raison, c'est qu'ils sont pas fichus de se blairer. La rencontre n'a lieu que lorsqu'ils ont une victime sous la main. C'est la victime qu'ils baisent. Ce sont des échangistes on pourrait dire. Des libertins. Des loups.

En ce qui me concerne, ça me dérange pas qu'ils baisent, qu'ils gémissent, qu'ils bougent, qu'ils se voient, se voient plus. Ce qui me dérange c'est que le voisin joue avec moi. Elle, à la limite je m'en fout, je la fréquenterai jamais et j'ai aucune envie de le faire de toutes façons. C'est lui qui pose problème. C'est lui qui vient faire chier la mauvaise personne. Qu'il s'en prend à quelqu'un qu'a du pognon, qu'a une situation sociale, je veux bien. Mais qu'il s'en prend à quelqu'un qui n'a ni pognon ni situation sociale, c'est comme créer une dette pour rien à un misérable.

Je ne possède rien, alors pour un gars bien dans mon genre il faudrait m'expliquer ce qui justifit de pareils traitements.

Sa copine j'en ai rien à foutre, mais d'une force. Et pourtant on dirait qu'il me dit : "go me la chourave". Non ! J'en veux pas de ta connasse ! Je veux que tu la ferme ! Tu fermes ta grande gueule ! Si tu peux décéder je dis pas non, ça me ferait du bien, je me sentirais soulagé d'un poids qui me ronge la santé.

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