20/05/17 - psychopathe
Étant seul, en carence affective, maso et sadique, on en a conclu que j'étais bon pour faire partie du cheptel de criminels potentiels.
Si carence affective il y a, et masochisme par conséquence de celà, mon sadisme, lui, ne se porte que sur des personnages fictifs. Ces personnages sont des idoles, des poupées magiques, qui payent au nom de tout le mal qu'on me fait depuis toujours. Un peu comme une statue de Jésus torturé.
Ma carence affective peut être la conséquence d'une psychopathie, mais dans mon cas c'est la conséquence d'un autisme.
Le masochisme est chez moi causé par une peur des conséquences de mes actes. Je préfère souffrir que d'être mécaniquement coupable.
Si le sadisme est universel car vécu par tous, le masochisme quand à lui est mal compris. Un masochiste est quelqu'un qui va s'entêter dans une voie de souffrance en y tirant un avantage au lieu de se résoudre à renoncer. Le masochisme est une acceptation de la souffrance, plus qu'un plaisir de la souffrance, bien qu'on puisse tirer un plaisir indirect des conséquences de cette souffrance.
Plus on souffre moins on est sensible à la souffrance d'autrui.
Si le sadisme est universel car vécu par tous, le masochisme quand à lui est mal compris. Un masochiste est quelqu'un qui va s'entêter dans une voie de souffrance en y tirant un avantage au lieu de se résoudre à renoncer. Le masochisme est une acceptation de la souffrance, plus qu'un plaisir de la souffrance, bien qu'on puisse tirer un plaisir indirect des conséquences de cette souffrance.
Plus on souffre moins on est sensible à la souffrance d'autrui.
Voilà !
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