10/05/17 - Vide
On m'a dit que je n'avais rien dans la tête. Pour ce faire on a parlé de mes clones riches et puissants. En fait on a parlé d Macron. C'est moi qui disais le premier que Macron était un vide. Je le voyais seul, tout le temps, Rémis. Il avait l'air d'être le moins entouré de tous. Enfin, je vais pas m'éterniser sur le bambin, ce qui m'intéresse c'est l'idée de vide. On me renvoie le mot "vide", c'est pas grand chose mais j'ai envie de réagir. Quand on a rien dans le crâne, a t-on intérêt à se remplir d'informations ? Je dis non ! Surtout pas ! J'ai trop bon gout, trop de sensibilité, même de sensiblerie, accumuler des informations serait par conséquent accumuler de l'or. Car ma constitution nerveuse fait de moi un tami rejetant sable et gardant or. Remplir ma tête d'informations reviendrait à remplir mon crâne percé et laisser sur mon sillage la poudre d'or. Comment me débarrasserais-je de mes harceleurs si je leur donnais de riches informations en abondance ? Je ne pourrais pas. Alors, à la manière d'un "grand maitre du vide" comme Moscovici, je parle pour ne rien dire. J'entre dans ma phase Moscovicien, c'est une nouvelle étape de ma vie, dans laquelle je n'invente rien, je suis modestement la voie de Pierre.
Les Rolling stones pourtant diront que "pierre qui roule n'amasse pas le mousse", et ils n'auront pas tort, malgré la faute de français qu'on leur pardonnera.
Acculé par une déboche de moyens, j'essaye d'éxister dignement en possédant le fruit de mon travail. Puisque c'est impossible, puisque qu'on reste à mes côté comme un éleveur à côté de sa poule pour lui prendre ses oeufs, je dois m'épuiser, moi et tout ce qui a de la valeur en moi. Adèle Van Reeth a essayé, elle aussi, de reprendre cette idée de l'épuisement d'elle-même, en donnant tout, tout de suite. C'est vrai que ça m'a calmé un temps, mais ça ne suffira pas éternellement. La soiffe reprendra de plus belle, c'est inévitable.
Alors, le vide pourquoi ? Le vide pour ne rien valoir, jamais. Il manquerait plus qu'on me vole mes plus jeunes années. J'ai 28 ans bientôt, je venais d'en avoir 27 en décembre 2016. Ma vie passe à toute allure et pour l'instant je ne suis libre de rien.
De toutes façons, je ne pense pas qu'il soit possible d'agir sur la source du problème. J'ai perdu tant d'années à essayer de comprendre, et bien je ne comprends pas.
En ce moment, je dirais que je pense qu'il s'agit de féministes. Qu'elles ont prit l'habitude de saturer les marchés sur lesquels je voulais péniblement aller, tout seul. Elles m'ont mené la vie dure, foutu en l'air ma carrière en informatique, et couté un ami. Je n'ai rien de bon à retenir de ces années et ne pense pas que l'avenir sera meilleur. Il me semble que tout celà est gratuit et qu'aucune raison ne puisse vraiment l'éxpliquer. J'ai eu le sentiment qu'on ne voulait surtout pas que je m'essaye à quoi que ce soit qui soit suceptible de se transformer en réussite. A peine j'essayais quelque chose qu'on déferlait en masse sur cette chose pour l'épuiser. J'ai eu le sentiment d'être au milieu d'une foule compacte qui copiait mes gestes et, où que j'aille, tout se ferait systématiquement piétiner. Donc, une situation d'impuissance, de persécution, d'injustice, amène forcément une réaction approprié, une réaction puissante, abile, efficasse, incontrable, je veux parler uned' réaction Moscovicienne. J'ai eu l'ambition de dépasser le maitre en y ajoutant de l'indifférence chiracienne, et voilà ce que ça donne : Le vide. Macron c'est le vide au service des "start-up". Déjà, un président qui parle anglais ça demande une révolution sur le champs. Sortez les Guillotines va falloir faire table rase du présent. Le petit bonhomme là , c'est une version moderne de Giscard, sans le titre de noblesse, encore que sa femme soit issue d'une famille noble. On dira que Macron c'est le féminisme de la haute société impériale qui cherche à planter des start-up pour récolter du "pognon en masse" sur le dos des morts au marché. Macron je l'aime pas. Les start-up j'aime pas. Uber j'aime pas. "En marche" j'aime pas. J'aime rien. Tout est nul. Alors mon vide, bah il est très bien là où il est. En fait je suis devenu un véritable Homme politique. Avec l'éxperience je peux le dire, un Homme politique c'est du vent. Macron c'est moi, je suis un Homme politique, Macron c'est la politique, Macron est comme les autres. Macron, c'est comme avant. Il faudra vraiment me dire à quoi ça sert de virer les vieux si les jeunes font la même chose.
En ce moment, je dirais que je pense qu'il s'agit de féministes. Qu'elles ont prit l'habitude de saturer les marchés sur lesquels je voulais péniblement aller, tout seul. Elles m'ont mené la vie dure, foutu en l'air ma carrière en informatique, et couté un ami. Je n'ai rien de bon à retenir de ces années et ne pense pas que l'avenir sera meilleur. Il me semble que tout celà est gratuit et qu'aucune raison ne puisse vraiment l'éxpliquer. J'ai eu le sentiment qu'on ne voulait surtout pas que je m'essaye à quoi que ce soit qui soit suceptible de se transformer en réussite. A peine j'essayais quelque chose qu'on déferlait en masse sur cette chose pour l'épuiser. J'ai eu le sentiment d'être au milieu d'une foule compacte qui copiait mes gestes et, où que j'aille, tout se ferait systématiquement piétiner. Donc, une situation d'impuissance, de persécution, d'injustice, amène forcément une réaction approprié, une réaction puissante, abile, efficasse, incontrable, je veux parler uned' réaction Moscovicienne. J'ai eu l'ambition de dépasser le maitre en y ajoutant de l'indifférence chiracienne, et voilà ce que ça donne : Le vide. Macron c'est le vide au service des "start-up". Déjà, un président qui parle anglais ça demande une révolution sur le champs. Sortez les Guillotines va falloir faire table rase du présent. Le petit bonhomme là , c'est une version moderne de Giscard, sans le titre de noblesse, encore que sa femme soit issue d'une famille noble. On dira que Macron c'est le féminisme de la haute société impériale qui cherche à planter des start-up pour récolter du "pognon en masse" sur le dos des morts au marché. Macron je l'aime pas. Les start-up j'aime pas. Uber j'aime pas. "En marche" j'aime pas. J'aime rien. Tout est nul. Alors mon vide, bah il est très bien là où il est. En fait je suis devenu un véritable Homme politique. Avec l'éxperience je peux le dire, un Homme politique c'est du vent. Macron c'est moi, je suis un Homme politique, Macron c'est la politique, Macron est comme les autres. Macron, c'est comme avant. Il faudra vraiment me dire à quoi ça sert de virer les vieux si les jeunes font la même chose.
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